
Si en plus les vieux y passent, eux qui étaient parmi les premiers acheteurs de neuf...
Qu'ils en aient envie, c'est sûr mais devant la crise éco qui prend forme trouver un emploi en province ça va pas être très facile.kamoulox a écrit : ↑31 mars 2020, 08:31Après cette crise je met une piécette que beaucoup quitteront l’idf en se rendront compte que les conditions de vies sont pourries pour eux.
Donc pas impossible que le salaire moyen augmente à paris et que plein de villes de province se tape un arrivage de parisiens et banlieusards.
+100coolfonzi a écrit : ↑31 mars 2020, 08:55Qu'ils en aient envie, c'est sûr mais devant la crise éco qui prend forme trouver un emploi en province ça va pas être très facile.kamoulox a écrit : ↑31 mars 2020, 08:31Après cette crise je met une piécette que beaucoup quitteront l’idf en se rendront compte que les conditions de vies sont pourries pour eux.
Donc pas impossible que le salaire moyen augmente à paris et que plein de villes de province se tape un arrivage de parisiens et banlieusards.
Télétravail : si l'employeur le veut bien
Oui ça dépend des domaines. On va dire que pour les domaines possibles çà fera parti des avantages au même titre qu’un ordi de fonction, primes etc...
Mais c'est déjà le cas.
Et pour lés célibataires. Ici un coup de Tinder permet d'accéder à des milliers de profils de qualité.
Détrompe toi
À Lyon tu trouverais aussi pas mal de bonnasses avec des "top jobs"
Mon dieu, j'espère que t'es heureux dans ta vie parce que tu as une vision vraiment basique des femmes et du couple ...
bien vu
Tu n'as donc pas de source formelle, c'est bien ce que je pensais.
Les parisiens ils aiment se faire plaindre et jouer la pièce de théâtre aussi. Un billet qu’après le confinement comme tu dis la vie reprends son cours pour lui, et plus de médocs.alpha2 a écrit : ↑31 mars 2020, 12:51De mon côté, j'ai un pote qui a pété un câble après 10 jours de confinement dans son studio parisien.
Grosses crises d'angoisse, prescription d'anxiolytiques... Alors qu'il n'avait aucune tendance à la déprime avant confinement.
Il jure qu'il ne restera pas dans son clapier parisien après la crise.
Bon, moi j'ai des doutes parce qu'après la crise, il n'y pensera plus au confinement...
C'est certain. Chaque année il y a un truc à Paris ces dernières années (attentats, GJ, grèves SNCF,...). Cela ne changera strictement rien et le problème du confinement sera oublié 6 mois après la fin.kamoulox a écrit : ↑31 mars 2020, 13:23Les parisiens ils aiment se faire plaindre et jouer la pièce de théâtre aussi. Un billet qu’après le confinement comme tu dis la vie reprends son cours pour lui, et plus de médocs.alpha2 a écrit : ↑31 mars 2020, 12:51De mon côté, j'ai un pote qui a pété un câble après 10 jours de confinement dans son studio parisien.
Grosses crises d'angoisse, prescription d'anxiolytiques... Alors qu'il n'avait aucune tendance à la déprime avant confinement.
Il jure qu'il ne restera pas dans son clapier parisien après la crise.
Bon, moi j'ai des doutes parce qu'après la crise, il n'y pensera plus au confinement...
Ce taux de fragilité mentale est quand même hallucinant en France (anti dépresseurs etc...)
Tu attends quoi comme source formelle? Une étude de l'Insee ?
Suit peu après le marronnier associé : "vivre à, "travailler à"...Korn a écrit : ↑31 mars 2020, 13:46https://business.lesechos.fr/directions ... e-4631.php
"Un Francilien sur deux se dit prêt à quitter la région parisienne pour améliorer sa qualité de vie."
de l'argent leur suffirait
Pas du tout pour la vision des femmes ça marche dans les deux sens, les femmes sur Tinder sont tout autant mercenaires que les hommes.
Ce que je mets en doute c'est tes 90% qui reculent ad vitam (ce n'est peut être pas ce que tu as voulu dire mais c'est ce que j'en comprends).
Ad vitam, l'avenir nous le dira. Mais, pour le moment, ce que tu annonces nous ramène plutôt à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_du_survivantSuricate a écrit : ↑31 mars 2020, 14:54Ce que je mets en doute c'est tes 90% qui reculent ad vitam (ce n'est peut être pas ce que tu as voulu dire mais c'est ce que j'en comprends).
Dans mon échantillon non représentatif de cadres quarantenaires (amis, copains de promo, collègues), 100% des provinciaux qui sont montés sur Paris pour bosser sont retournés en Province au 1er ou 2ème enfant, pas forcément dans leur Province d'origine mais en Province quand même.
Moi même j'ai fait Dijon -> Paris -> Bordeaux -> Saumur au gré de mes attentes. Alors certes niveau salaire la progression n'est pas extraordinaire mais en terme de qualité de vie je n'échange pas ma position contre celle d'un banlieusard blindé de POGNON sur son compte en banque.
T'es un has been, t'es resté en 2015-2016. Bordeaux c'est devenu un truc de ringard.
C'est pour ça que j'aimerai bien avoir un truc sourcé...Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 14:59Ad vitam, l'avenir nous le dira. Mais, pour le moment, ce que tu annonces nous ramène plutôt à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_du_survivant
C'est pire que ça, le solde migratoire est négatif. C'est le solde naturel de la petite couronne (dont le 93 devenu 2e département le plus peuplé d'IdF et bien parti pour être le premier dans 20 ans) qui explique la hausse du nombre d'habitantsSuricate a écrit : ↑31 mars 2020, 15:26C'est pour ça que j'aimerai bien avoir un truc sourcé...Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 14:59Ad vitam, l'avenir nous le dira. Mais, pour le moment, ce que tu annonces nous ramène plutôt à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_du_survivant
Note par ailleurs que la grande attractivité de l'IDF, aka les jeunes qui montent sur Paris (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2666500), semble s'accompagner d'un mouvement inverse d'une autre partie de la population sinon on aurait assisté à une explosion démographique sans précédent.
Depuis 2000 : +10% de population en IDF, peu ou prou comme sur le reste du territoire. Pour 100 personnes (principalement des jeunes) qui arrivent en IDF il y en a 90 qui partent (et pas que des retraités).
https://www.insee.fr/fr/statistiques/26 ... e-Figure_2
Marseille depuis 15 jours c'est la hype !immoglobine a écrit : ↑31 mars 2020, 15:04Maintenant c'est Nantes ? Ou Marseilles ? Ça change tout les 2 ans de toute façon.
Les pauvres (qui n'ont pas de HLM) vont où les autres ne veulent pas aller. C'est à dire où c'est bien pourri. Mais ils vont avant tout où il y a de la place et où ce n'est pas très cher de construire. Il reste pas mal d'espace dans le 77 par exemple. Si la population continue d'augmenter en IDF, je ne crois pas que la "misère" se concentrera uniquement dans le 93.optimus maximus a écrit : ↑31 mars 2020, 15:35C'est pire que ça, le solde migratoire est négatif. C'est le solde naturel de la petite couronne (dont le 93 devenu 2e département le plus peuplé d'IdF et bien parti pour être le premier dans 20 ans) qui explique la hausse du nombre d'habitantsSuricate a écrit : ↑31 mars 2020, 15:26C'est pour ça que j'aimerai bien avoir un truc sourcé...Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 14:59Ad vitam, l'avenir nous le dira. Mais, pour le moment, ce que tu annonces nous ramène plutôt à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_du_survivant
Note par ailleurs que la grande attractivité de l'IDF, aka les jeunes qui montent sur Paris (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2666500), semble s'accompagner d'un mouvement inverse d'une autre partie de la population sinon on aurait assisté à une explosion démographique sans précédent.
Depuis 2000 : +10% de population en IDF, peu ou prou comme sur le reste du territoire. Pour 100 personnes (principalement des jeunes) qui arrivent en IDF il y en a 90 qui partent (et pas que des retraités).
https://www.insee.fr/fr/statistiques/26 ... e-Figure_2
Oui mais il a deux sortes de pauvres en IDF :Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 15:50Les pauvres (qui n'ont pas de HLM) vont où les autres ne veulent pas aller. C'est à dire où c'est bien pourri. Mais ils vont avant tout où il y a de la place et où ce n'est pas très cher de construire. Il reste pas mal d'espace dans le 77 par exemple. Si la population continue d'augmenter en IDF, je ne crois pas que la "misère" se concentrera uniquement dans le 93.
Aussi appelée mixité. Qui bien évidemment ne fonctionne que dans le monde magique des gauchistes et écologistesBen92 a écrit : ↑31 mars 2020, 16:15Oui mais il a deux sortes de pauvres en IDF :Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 15:50Les pauvres (qui n'ont pas de HLM) vont où les autres ne veulent pas aller. C'est à dire où c'est bien pourri. Mais ils vont avant tout où il y a de la place et où ce n'est pas très cher de construire. Il reste pas mal d'espace dans le 77 par exemple. Si la population continue d'augmenter en IDF, je ne crois pas que la "misère" se concentrera uniquement dans le 93.
- La population allogène à fort taux de délinquance et de criminalité, communément appelée "racaille". Ceux-ci sont les premiers servis en HLM, en proche banlieue pour la plupart, et même Paris IM sous l'impulsion d'Hidalgo.
- Les pauvres de souche, aussi appelés "p'tits blancs". En général mal servis en HLM, ceux-ci migrent dans les contrées reculées du 77 voire du 60 pour éviter de partager un territoire avec les racailles.
s'il y a un mouvement de fond de femmes inscrites à Tinder en direction de Marseille;Ben92 a écrit : ↑31 mars 2020, 15:50Marseille depuis 15 jours c'est la hype !immoglobine a écrit : ↑31 mars 2020, 15:04Maintenant c'est Nantes ? Ou Marseilles ? Ça change tout les 2 ans de toute façon.Taux de guérison au virus a moins x10 par rapport aux ringards de l'IDF.
Le début d'une nouvelle tendance ?
Je comprends ton propos. J'ai bien forcé le trait avec les 90%, mais tout dépend de la manière d'appréhender la chose.Suricate a écrit : ↑31 mars 2020, 15:26C'est pour ça que j'aimerai bien avoir un truc sourcé...Vincent92 a écrit : ↑31 mars 2020, 14:59Ad vitam, l'avenir nous le dira. Mais, pour le moment, ce que tu annonces nous ramène plutôt à ceci : https://fr.wikipedia.org/wiki/Biais_du_survivant
Note par ailleurs que la grande attractivité de l'IDF, aka les jeunes qui montent sur Paris (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2666500), semble s'accompagner d'un mouvement inverse d'une autre partie de la population sinon on aurait assisté à une explosion démographique sans précédent.
Depuis 2000 : +10% de population en IDF, peu ou prou comme sur le reste du territoire. Pour 100 personnes (principalement des jeunes) qui arrivent en IDF il y en a 90 qui partent (et pas que des retraités).
https://www.insee.fr/fr/statistiques/26 ... e-Figure_2
les loueurs essaient de convertir à la hâte leur location en location longue mais bien sûr ce n'est pas simple et cela pourrait également faire baisser le prix des loyers (et donc encore + le prix de l'immobilier)."Le marché du logement s’effondre également à cause des annulations massives des locations Airbnb. La moitié de la population mondiale étant sous confinement, les propriétés Airbnb sont vides. De nombreux économistes préviennent de l’éclatement prochain de la bulle de l’investissement locatif."
"Face à l’absence de réservations à court terme, les hôtes Airbnb inondent le marché de la location régulière. Londres vient de voir une augmentation de 45% des locations sur le marché. 64% à Dublin et 78% dans la ville touristique britannique de Bath."
Je leur souhaite bon courage. Il y a 50 % des Américains qui vivent sans aucune épargne de précaution.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:45De New-York à AirbnB, la crise du coronavirus risque de provoquer une crise immobilière sans précédent
https://issues.fr/crise-immobiliere-cor ... FvXA2MTXQs
Article qui parle des investisseurs Airbnb qui pourraient faire faillite et entrainer le marché immobilier dans leur chute.
Ici ça se passe à New York mais c'est bien sûr valable pour des villes comme Paris, ou même Lyon...
les loueurs essaient de convertir à la hâte leur location en location longue mais bien sûr ce n'est pas simple et cela pourrait également faire baisser le prix des loyers (et donc encore + le prix de l'immobilier)."Le marché du logement s’effondre également à cause des annulations massives des locations Airbnb. La moitié de la population mondiale étant sous confinement, les propriétés Airbnb sont vides. De nombreux économistes préviennent de l’éclatement prochain de la bulle de l’investissement locatif."
"Face à l’absence de réservations à court terme, les hôtes Airbnb inondent le marché de la location régulière. Londres vient de voir une augmentation de 45% des locations sur le marché. 64% à Dublin et 78% dans la ville touristique britannique de Bath."
Le choix est sûrement vite fait mais les USA ne sont pas la France. Dans certains états, il ne faut que 2-3 mois grand maximum de procédure pour virer un locataire qui ne paie pas (pas de trêve hivernal, associations, astuces en tout genre pour faire traîner,...).Cagou780 a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:55Je leur souhaite bon courage. Il y a 50 % des Américains qui vivent sans aucune épargne de précaution.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:45De New-York à AirbnB, la crise du coronavirus risque de provoquer une crise immobilière sans précédent
https://issues.fr/crise-immobiliere-cor ... FvXA2MTXQs
Article qui parle des investisseurs Airbnb qui pourraient faire faillite et entrainer le marché immobilier dans leur chute.
Ici ça se passe à New York mais c'est bien sûr valable pour des villes comme Paris, ou même Lyon...
les loueurs essaient de convertir à la hâte leur location en location longue mais bien sûr ce n'est pas simple et cela pourrait également faire baisser le prix des loyers (et donc encore + le prix de l'immobilier)."Le marché du logement s’effondre également à cause des annulations massives des locations Airbnb. La moitié de la population mondiale étant sous confinement, les propriétés Airbnb sont vides. De nombreux économistes préviennent de l’éclatement prochain de la bulle de l’investissement locatif."
"Face à l’absence de réservations à court terme, les hôtes Airbnb inondent le marché de la location régulière. Londres vient de voir une augmentation de 45% des locations sur le marché. 64% à Dublin et 78% dans la ville touristique britannique de Bath."
https://www.forbes.com/sites/zackfriedm ... a3d1311578
C'est le chèque du salaire du mois qui paye les charges du mois. Dans ces conditions, si t'as plus de pognon et que tu dois choisir entre la bouffe et le logement (et accessoirement le remboursement des dettes), le choix est vite fait. Donc de nombreux bailleurs ne toucheront pas leur chèque. S'ils sont eux même endettés, ce qui plus que probable, ils sont mal. Donc leur banque est mal.
Mais si en France tu ne peux pas virer un mec qui ne paie plus rapidement cela impactera encore + le marché immobilier ici... Les faillites des investisseurs locatifs vont être nombreuses.Vincent92 a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:14Le choix est sûrement vite fait mais les USA ne sont pas la France. Dans certains états, il ne faut que 2-3 mois grand maximum de procédure pour virer un locataire qui ne paie pas (pas de trêve hivernal, associations, astuces en tout genre pour faire traîner,...).Cagou780 a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:55Je leur souhaite bon courage. Il y a 50 % des Américains qui vivent sans aucune épargne de précaution.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:45De New-York à AirbnB, la crise du coronavirus risque de provoquer une crise immobilière sans précédent
https://issues.fr/crise-immobiliere-cor ... FvXA2MTXQs
Article qui parle des investisseurs Airbnb qui pourraient faire faillite et entrainer le marché immobilier dans leur chute.
Ici ça se passe à New York mais c'est bien sûr valable pour des villes comme Paris, ou même Lyon...
les loueurs essaient de convertir à la hâte leur location en location longue mais bien sûr ce n'est pas simple et cela pourrait également faire baisser le prix des loyers (et donc encore + le prix de l'immobilier)."Le marché du logement s’effondre également à cause des annulations massives des locations Airbnb. La moitié de la population mondiale étant sous confinement, les propriétés Airbnb sont vides. De nombreux économistes préviennent de l’éclatement prochain de la bulle de l’investissement locatif."
"Face à l’absence de réservations à court terme, les hôtes Airbnb inondent le marché de la location régulière. Londres vient de voir une augmentation de 45% des locations sur le marché. 64% à Dublin et 78% dans la ville touristique britannique de Bath."
https://www.forbes.com/sites/zackfriedm ... a3d1311578
C'est le chèque du salaire du mois qui paye les charges du mois. Dans ces conditions, si t'as plus de pognon et que tu dois choisir entre la bouffe et le logement (et accessoirement le remboursement des dettes), le choix est vite fait. Donc de nombreux bailleurs ne toucheront pas leur chèque. S'ils sont eux même endettés, ce qui plus que probable, ils sont mal. Donc leur banque est mal.
Donc, vu qu'il y a peu d'amortisseurs, c'est sûr que le marché est plus réactif à la hausse et à la baisse mais tout n'est pas forcément noir non plus pour un propriétaire bailleur américain qui n'est pas endetté à l'excès.
carrément ! Une catastrophe pour certains.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:25Mais si en France tu ne peux pas virer un mec qui ne paie plus rapidement cela impactera encore + le marché immobilier ici... Les faillites des investisseurs locatifs vont être nombreuses.
J'ai édité mon message précédent. Oui, il y a ce problème en France mais il y a aussi de nombreux amortisseurs :Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:25Mais si en France tu ne peux pas virer un mec qui ne paie plus rapidement cela impactera encore + le marché immobilier ici... Les faillites des investisseurs locatifs vont être nombreuses.Vincent92 a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:14Le choix est sûrement vite fait mais les USA ne sont pas la France. Dans certains états, il ne faut que 2-3 mois grand maximum de procédure pour virer un locataire qui ne paie pas (pas de trêve hivernal, associations, astuces en tout genre pour faire traîner,...).Cagou780 a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:55Je leur souhaite bon courage. Il y a 50 % des Américains qui vivent sans aucune épargne de précaution.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 08:45De New-York à AirbnB, la crise du coronavirus risque de provoquer une crise immobilière sans précédent
https://issues.fr/crise-immobiliere-cor ... FvXA2MTXQs
Article qui parle des investisseurs Airbnb qui pourraient faire faillite et entrainer le marché immobilier dans leur chute.
Ici ça se passe à New York mais c'est bien sûr valable pour des villes comme Paris, ou même Lyon...
les loueurs essaient de convertir à la hâte leur location en location longue mais bien sûr ce n'est pas simple et cela pourrait également faire baisser le prix des loyers (et donc encore + le prix de l'immobilier).
https://www.forbes.com/sites/zackfriedm ... a3d1311578
C'est le chèque du salaire du mois qui paye les charges du mois. Dans ces conditions, si t'as plus de pognon et que tu dois choisir entre la bouffe et le logement (et accessoirement le remboursement des dettes), le choix est vite fait. Donc de nombreux bailleurs ne toucheront pas leur chèque. S'ils sont eux même endettés, ce qui plus que probable, ils sont mal. Donc leur banque est mal.
Donc, vu qu'il y a peu d'amortisseurs, c'est sûr que le marché est plus réactif à la hausse et à la baisse mais tout n'est pas forcément noir non plus pour un propriétaire bailleur américain qui n'est pas endetté à l'excès.
Une catastrophe pour certains, quelques-un. Une chance pour tous les autres.Romario a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:28carrément ! Une catastrophe pour certains.Raoul Duke a écrit : ↑02 avr. 2020, 09:25Mais si en France tu ne peux pas virer un mec qui ne paie plus rapidement cela impactera encore + le marché immobilier ici... Les faillites des investisseurs locatifs vont être nombreuses.