Date : 28/05/2020
Au 1 trimestre 2020, les ventes de logements anciens reculent de plus de 20% par rapport à un 1 trimestre 2019 très actif. La crise sanitaire a pesé sur l’activité immobilière au 1 trimestre 2020, quasiment à l’arrêt en mars pour cause de confinement. Mais un premier ralentissement était déjà perceptible en février.
Selon les Notaires du Grand Paris, les hausses de prix se prolongent, sans changement, au 1 trimestre 2020. Les indicateurs avancés sur les prix, calculés d’après les avant-contrats, s’inscrivent ensuite dans la continuité. S’ils devaient se produire, les ajustements de prix, attendus par de nombreux observateurs, ne se manifesteraient probablement qu’après une phase de latence.
Au demeurant la violence du choc subi par notre économie (pour rappel une perte de 1,5 point de PIB par quinzaine de confinement d’après la Banque de France ), l’impossibilité de connaître les impacts en cascade sur les entreprises et les ménages ainsi que la fragilité persistante de notre situation sanitaire inscrivent le marché immobilier dans une équation à de nombreuses inconnues.
Cependant des facteurs de résilience persistent : le confinement a confirmé l’importance d’être bien logé, la valeur-pierre constitue toujours un facteur de sécurité sans concurrent ; enfin, l’abondance de liquidités laisse espérer des taux d’intérêts encore attractifs.
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