Ok merci
"Immobilier : chute des ventes mais des prix qui ne sont pas près de baisser !"
https://edito.seloger.com/actualites/ba ... 38227.html
Selon les chiffres qu’a récoltés le baromètre LPI-SeLoger, le prix au m² en France augmente de 5,1 % sur l’année pour atteindre 3 601 € (+3.5 sur 3 mois).
... « la contraction de l’offre de crédits bancaires » a conduit les ménages réalisant les achats les moins coûteux (c’est-à-dire, les primo-accédants, Ndlr), à quitter le marché, « alimentant ainsi la persistance de la hausse des prix ».
Ok. Donc hausse mécanique des prix.
... niveau trimestriel glissant, le nombre des compromis de vente qui ont été signés a diminué de 62,1 % à fin mai dernier....« le nombre de compromis signés durant les 20 derniers jours de mai est inférieur de 39 % au nombre de compromis signés durant les 20 derniers jours de mail 2019 ! » Et c’est donc vers une reprise poussive que nous semblons nous acheminer…
C'est pas terrible et ça correspond pas vraiment à tout ce que l'on a pu lire sur la reprise
. Mais signer un compromis en 3 semaines de recherche dans des conditions merdiques...faut vraiment être motivé. Par contre faut encore retirer les 9 % de refus de prêts selon les derniers chiffres. Mai juin c'est en principe le haut de l'activité. Si ça reprend normalement en juillet c'est déjà dans les 30 % du marché qui a disparu. Les Ai, les notaires et les collectivités (DMTO) vont bien morfler.
Autre explication de Mouillard pour la hausse des prix : le déficit d'offre. Mais ça le gêne pas de mettre dans le même article que la demande a baissé de 40 %. Voilà qui devrait alimenter le stock de bien a vendre.
Autre remarque : il n'y a pas les prix des grandes villes (à part la mention "très peu de baisse dans les grande villes"). Elles ont été associées à leur métropole. Pas courant comme pratique non ? Si ça se trouve il y a eu une ruée...