Tu as une partie outlet, avec des modèles moins chers :
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Vous avez une source ?EmileZola a écrit : ↑23 juin 2020, 11:54Oui, les Weston sont toujours fabriquées en France par exemple.
https://www.jmweston.com/les-collections/chaussures
Au cours des années, l’usine en France a cependant perdu de son importance par rapport au site de production portugais. Seules de petites séries sont encore produites à Sarrebourg
ça reste l'UE de l'Ouest, pas la Chine, et c'est clairement pas le prix de Weston, mais 4-5 fois moins.Nounou a écrit : ↑23 juin 2020, 14:50Mephisto ne fabrique plus ses chaussures exclusivement en France
https://fr.mephisto.com/la-societe/news ... ancaise-59Au cours des années, l’usine en France a cependant perdu de son importance par rapport au site de production portugais. Seules de petites séries sont encore produites à Sarrebourg
c'est classique. Et comme le dit l'article d'Europe1, ils ont réussi à trouver où était l'usine qui fabriquait les contrefaçons -rappelons que contrefaçon ça ne signifie pas moins bien ou sous produit, ça signifie produit violant la propriété intellectuelle, donc si l'usine fait une deuxième série avec les mêmes machines et les mêmes ouvriers en double comptabilité c'est de la contrefaçon- alors que ça n'arrive jamais de le savoir... ça met la puce à l'oreille quand même.
wasabi a écrit : ↑23 juin 2020, 14:03Vous avez une source ?EmileZola a écrit : ↑23 juin 2020, 11:54Oui, les Weston sont toujours fabriquées en France par exemple.
https://www.jmweston.com/les-collections/chaussures
Parce que sur leur site rien ne va en ce sens, on ne fait que parler de Paris, d'art, de mousse de la mode, du style plutôt que du concret de la tradition, de la qualité et du sérieux... On met en avant les directeurs artistiques plutôt que les artisans. Aucune référence à une fabrication française ni de drapeau français, ce qui est étonnant si c'est fabriqué en France.
L'adresse du siège renvoie ici https://www.google.fr/maps/place/Rue+Ni ... d1.2808896
Pas du tout à Paris, mais à Limoges dans une ZI, où est un magasin de vente et les bureaux. Peut être aussi une manufacture mais ça serait étonnant que ça ne soit pas marqué. En plus les accès au site, à part le sud ne correspondent pas à un site de production qui a besoin de quais de chargement et pas d'accès voiture avec espace vert comme des bureaux / espace vente.
Si sur leur site on va sur les rubriques de recrutement pour la manufacture, il n'est précisé rien du tout, si ce n'est "province". Même pas Limoges. Comme si "province" ça situait géographiquement... Pour un parisien qui ne peut pas à cause de son urticaire passer le périph, peut être, ça signifie "en France mais chez les bouseux", mais sinon...
Bref pour moi tout va dans le sens d'une production non française. Si je regarde Wikipédia, il est indiqué que la production était en France en 2007. Mais que "curieusement" la marque a réussi en 2011 à faire fermer une usine à canton qui produisait des contrefaçons avec exactement la réplique de leurs moules... https://www.europe1.fr/economie/Weston- ... ***-301984
Bref ce qu'il semble le plus probable, c'est qu'ils fabriquent à Canton, et qu'ils ont été victimes des chinois dans leur technique habituelle de faire une usine à l'identique à côté de l'officielle.
https://www.jmweston.com/manufacture/le-metierLA TANNERIE
Unique chausseur à posséder sa propre tannerie végétale de cuir à semelle, la manufacture attend que le temps fasse son devoir à Saint-Léonard-de-Noblat, au coeur de la Tannerie Bastin. C’est ici, à quelques kilomètres de Limoges, que la peau deviendra cuir. À la faveur de techniques ancestrales, la nature, aidée de l’homme, donnera là le meilleur d’elle-même. Des semelles de cuir hors du temps
Ainsi pourrait-on dessiner la topographie de la Tannerie Bastin. Fondée en 1806, cette institution du cuir a rejoint le giron de J.M. Weston en 1981, et produit en exclusivité le cuir à semelle des chaussures de la manufacture. La Tannerie Bastin se singularise par ses méthodes ancestrales de tannage végétal, qui confèrent une résistance inégalée au cuir et donnent aux chaussures leur caractère d’exception. La peau suit ici un long parcours, jalonné d’étapes, où la nature, le temps et l’artisan œuvrent conjointement.
Eloge de la lenteur et du geste rare, la Tannerie Bastin perpétue un savoir-faire manuel, éloigné de toute considération industrielle.
LA MANUFACTURE DE LIMOGES
J.M. Weston possède une seule et unique manufacture à Limoges qui produit encore aujourd'hui toutes les collections cousues sur semelles cuir, dans le respect du savoir-faire bottier. Une chaussure J.M. Weston est une histoire d’hommes et de femmes de métier: plus de 195 collaborateurs assurent la production dans les ateliers.
Deux mois sont nécessaires à la réalisation d’une paire de chaussures sur lesquelles 150 prises en main sont exécutées (découpe de la peau, piqûre de la tige, découpe de la semelle, montage, bichonnage...).
Tout est affaire de détails car tout ce qui ne se voit pas se ressent, tels les fils de coton, les doublures en veau, les contreforts en cuir... et ce pour chaque modèle.
LE MÉTIER
Le savoir-faire J.M. Weston s’illustre dans des créations aussi rares qu’authentiques mêlant savoir-faire artisanal et techniques d’exception héritées de son histoire. A cet héritage s’ajoute l’utilisation de matières remarquables, le cuir jouant d’un tannin végétal se décline en mille combinaisons. Une particularité qui se distingue notamment dans les commandes spéciales : box de couleurs, peausseries exotiques, veau grainé ou velours, la personnalisation s’exprime autour d’un nuancier aussi bien discret qu’impertinent.
Le tour de main J.M. Weston se révèle également dans les bottes d’équitations. Autour d’une forme unique à bout arrondi, la Saumur, divers modèles sont disponibles en fonction de leur usage: randonnée équestre, chasse à courre, polo...
La maison confectionne également les bottes de la Garde Républicaine depuis 1975.
De la coupe au bichonnage, elles suivent un parcours de huit semaines dans les ateliers de la manufacture de Limoges, se soumettant à environ deux cents prises en main au gré des techniques exercées des maître-bottiers. Sur-mesure (en fonction de la pointure du pied, hauteur de jambe, jarret, mollet, mi-mollet, cheville et grande entrée du cavalier), les bottes répondent à des valeurs de tradition et de qualité intrinsèques aux chaussures J.M. Weston.
le premier bloc avec une phrase en rouge ne veut rien dire du tout c'est du pipo. Ils peuvent très bien posséder mais qu'elle produise quasiment zéro car c'est une friche industrielle qui "attend que le temps fasse son devoir"EmileZola a écrit : ↑23 juin 2020, 16:29https://www.jmweston.com/manufacture/le-metierLA TANNERIE
Unique chausseur à posséder sa propre tannerie végétale de cuir à semelle, la manufacture attend que le temps fasse son devoir à Saint-Léonard-de-Noblat, au coeur de la Tannerie Bastin. C’est ici, à quelques kilomètres de Limoges, que la peau deviendra cuir. À la faveur de techniques ancestrales, la nature, aidée de l’homme, donnera là le meilleur d’elle-même. Des semelles de cuir hors du temps
Ainsi pourrait-on dessiner la topographie de la Tannerie Bastin. Fondée en 1806, cette institution du cuir a rejoint le giron de J.M. Weston en 1981, et produit en exclusivité le cuir à semelle des chaussures de la manufacture. La Tannerie Bastin se singularise par ses méthodes ancestrales de tannage végétal, qui confèrent une résistance inégalée au cuir et donnent aux chaussures leur caractère d’exception. La peau suit ici un long parcours, jalonné d’étapes, où la nature, le temps et l’artisan œuvrent conjointement.
Eloge de la lenteur et du geste rare, la Tannerie Bastin perpétue un savoir-faire manuel, éloigné de toute considération industrielle.
LA MANUFACTURE DE LIMOGES
J.M. Weston possède une seule et unique manufacture à Limoges qui produit encore aujourd'hui toutes les collections cousues sur semelles cuir, dans le respect du savoir-faire bottier. Une chaussure J.M. Weston est une histoire d’hommes et de femmes de métier: plus de 195 collaborateurs assurent la production dans les ateliers.
Deux mois sont nécessaires à la réalisation d’une paire de chaussures sur lesquelles 150 prises en main sont exécutées (découpe de la peau, piqûre de la tige, découpe de la semelle, montage, bichonnage...).
Tout est affaire de détails car tout ce qui ne se voit pas se ressent, tels les fils de coton, les doublures en veau, les contreforts en cuir... et ce pour chaque modèle.
LE MÉTIER
Le savoir-faire J.M. Weston s’illustre dans des créations aussi rares qu’authentiques mêlant savoir-faire artisanal et techniques d’exception héritées de son histoire. A cet héritage s’ajoute l’utilisation de matières remarquables, le cuir jouant d’un tannin végétal se décline en mille combinaisons. Une particularité qui se distingue notamment dans les commandes spéciales : box de couleurs, peausseries exotiques, veau grainé ou velours, la personnalisation s’exprime autour d’un nuancier aussi bien discret qu’impertinent.
Le tour de main J.M. Weston se révèle également dans les bottes d’équitations. Autour d’une forme unique à bout arrondi, la Saumur, divers modèles sont disponibles en fonction de leur usage: randonnée équestre, chasse à courre, polo...
La maison confectionne également les bottes de la Garde Républicaine depuis 1975.
De la coupe au bichonnage, elles suivent un parcours de huit semaines dans les ateliers de la manufacture de Limoges, se soumettant à environ deux cents prises en main au gré des techniques exercées des maître-bottiers. Sur-mesure (en fonction de la pointure du pied, hauteur de jambe, jarret, mollet, mi-mollet, cheville et grande entrée du cavalier), les bottes répondent à des valeurs de tradition et de qualité intrinsèques aux chaussures J.M. Weston.
ça signifie que la tannerie travaille en exclusivité pour la manufacture, pas que la manufacture n'a qu'eux comme fournisseur. D'ailleurs ça ne signifie pas non plus que le groupe passe par la manufacture historique, ça signifie juste que le groupe possède une manufacture au moins et une tannerie au moins, et que cette tannerie ne travaille que pour cette manufacture.Ainsi pourrait-on dessiner la topographie de la Tannerie Bastin. Fondée en 1806, cette institution du cuir a rejoint le giron de J.M. Weston en 1981, et produit en exclusivité le cuir à semelle des chaussures de la manufacture. La Tannerie Bastin se singularise par ses méthodes ancestrales de tannage végétal, qui confèrent une résistance inégalée au cuir et donnent aux chaussures leur caractère d’exception. La peau suit ici un long parcours, jalonné d’étapes, où la nature, le temps et l’artisan œuvrent conjointement.
Là il est dit que la manufacture de Limoges produit toutes les "collections cousues sur semelles en cuir", encore faut-il comprendre en langage juridique et technique ce que ça signifie, combien est ce que ça représente de la production totale les collections cousues sur semelles cuir ? Et quand il est dit qu'il ne possède qu'une manufacture à Limoges, ça ne signifie pas que la société n'en possède pas ailleurs, ça signifie qu'à Limoges elle n'en a qu'une, pas qu'elle n'en a pas ailleurs ou qu'elle ne produit pas ailleurs que dans des manufactures. Il n'est pas dit si les 195 collaborateurs travaillent pour la manufacture de Limoges ou pour des ateliers en Chine ou autre.LA MANUFACTURE DE LIMOGES
J.M. Weston possède une seule et unique manufacture à Limoges qui produit encore aujourd'hui toutes les collections cousues sur semelles cuir, dans le respect du savoir-faire bottier. Une chaussure J.M. Weston est une histoire d’hommes et de femmes de métier: plus de 195 collaborateurs assurent la production dans les ateliers.
OK. Rien sur la France, ça peut être ailleursDeux mois sont nécessaires à la réalisation d’une paire de chaussures sur lesquelles 150 prises en main sont exécutées (découpe de la peau, piqûre de la tige, découpe de la semelle, montage, bichonnage...).
Tout est affaire de détails car tout ce qui ne se voit pas se ressent, tels les fils de coton, les doublures en veau, les contreforts en cuir... et ce pour chaque modèle.
LE MÉTIER
Le savoir-faire J.M. Weston s’illustre dans des créations aussi rares qu’authentiques mêlant savoir-faire artisanal et techniques d’exception héritées de son histoire. A cet héritage s’ajoute l’utilisation de matières remarquables, le cuir jouant d’un tannin végétal se décline en mille combinaisons. Une particularité qui se distingue notamment dans les commandes spéciales : box de couleurs, peausseries exotiques, veau grainé ou velours, la personnalisation s’exprime autour d’un nuancier aussi bien discret qu’impertinent.
Le tour de main J.M. Weston se révèle également dans les bottes d’équitations. Autour d’une forme unique à bout arrondi, la Saumur, divers modèles sont disponibles en fonction de leur usage: randonnée équestre, chasse à courre, polo...
La maison confectionne également les bottes de la Garde Républicaine depuis 1975.
Et là il est dit que les bottes de la garde républicaine suivent un parcours de 8 semaines à Limoges dans la manufacture. D'une ça ne désigne que ces bottes là et pas le reste de leur production. Et de deux ça ne signifie pas qu'elles sont fabriquées là, mais qu'elles passent huit semaines dans la manufactures et qu'elles sont manipulées sur place.La maison confectionne également les bottes de la Garde Républicaine depuis 1975.
De la coupe au bichonnage, elles suivent un parcours de huit semaines dans les ateliers de la manufacture de Limoges, se soumettant à environ deux cents prises en main au gré des techniques exercées des maître-bottiers. Sur-mesure (en fonction de la pointure du pied, hauteur de jambe, jarret, mollet, mi-mollet, cheville et grande entrée du cavalier), les bottes répondent à des valeurs de tradition et de qualité intrinsèques aux chaussures J.M. Weston.
A l'occasion d'un voyage, Est-ce que le magasin d'usine vaut le detour question prix pour les modeles classiques les meilleurs ? Beaucoup de choix ?wasabi a écrit : ↑23 juin 2020, 15:20ça reste l'UE de l'Ouest, pas la Chine, et c'est clairement pas le prix de Weston, mais 4-5 fois moins.Nounou a écrit : ↑23 juin 2020, 14:50Mephisto ne fabrique plus ses chaussures exclusivement en France
https://fr.mephisto.com/la-societe/news ... ancaise-59Au cours des années, l’usine en France a cependant perdu de son importance par rapport au site de production portugais. Seules de petites séries sont encore produites à Sarrebourg
Mais ils ne mentent pas, dans le magasin d'usine à Sarrebourg, j'y étais encore à l'automne dernier, ils le disent qu'une partie de la production n'est plus faite là.
le magasin est assez grand, mais il fait d'autres marques qui appartiennent au même groupe voire d'autres dont je ne sais pas si c'est le cas, la marque la plus présente c'est quand même mephisto. ils vendent aussi d'autres trucs en cuir. https://www.lesmagasinsdusine.com/franc ... sarrebourg
la semelle ? Chez moi c'est le caoutchouc qui s'use en premier -j'ai évalué ça à environ 8-10 000 km-, et ça ne vaut pas le coup de ressemeler, je l'ai fait une fois sur une autre marque et comme le reste de la chaussure s'est usée, ça fait trop bizarre car toute la chaussure s'est déformée d'une certaine manière qui collait bien avec l'usure de la semelle.Mon modele pour l'hiver est le meme depuis 20 ans. Rien a faire des commentaires comme quoi c'est une marque de vieux.
La semelle bien amortissante s'use en premier, c'est le defaut. Sinon le cuir serait increvable.
on dit aussi chaussure de fonctionnaires, ou d'enseignants.
C’est le style complet de l’enseignant ou enseignante qui est has been
vaut-il mieux avoir des Mephisto comme les profs ? Ou des Weston comme les gendarmes ?
C'est l'image effet. Je me suis fait taquiner quelques fois a la machine a café.
pas le budget ? Ca doit être une des marques qui coûte le moins cher par km parcouru. Elles sont solides et un ont prix rapporté à leur qualité, pas à une image. Après faut les entretenir correctement, ni tomber dans l'excès des chaussures pas chères (kiwi et autres trucs d'hypermarché) ni des chères (produits plus chers que les cosmétiques haut de gamme, appliqués par des cireurs de pompes pro (on se souviendra de l'Elysée sous Hollande), en quinze étapes avec fini au glaçage)
c'est peut être ça que ça signifie le "cousu sur semelle" vu que dans les autres montages, plus haut de gamme (cousu norvégien, goodyear...) il y a une pièce intermédiaire dans la couture, la trépointe.
J'en ai aussi. Ca dure longtemps et c'est confortable.roi.de.trefle a écrit : ↑23 juin 2020, 20:31Puisqu'on parle chaussures, j'avoue que je porte des Finsbury j'en suis très content... je crois que c'est Anglais, mais c'est surtout le cuir qui est excellent
https://www.acheter-francais.org/Jeans- ... l?f2=Homme
merci mais trop cher pour moi, 150 € maxi la paire, voir un peu plus.F. Zabinsky a écrit : ↑24 juin 2020, 07:47Si vous voulez deschaussures classiques pour homme genre derby bottines, richelieu etc, y'a des marques françaises qui en font de bonnes : Heschung, Jacques et Demeter...
C'est votre choix mais pas forcément un investissement pertinent en comparaison de chaussures qui durent une vie en ne coûtant qu'un ressemelage tous les dix ans et quelques euros de produit d'entretien par an. Les chaussures de qualité c'est très vite amorti, plus que n'importe quel autre produit.krachboom a écrit : ↑24 juin 2020, 09:15merci mais trop cher pour moi, 150 € maxi la paire, voir un peu plus.F. Zabinsky a écrit : ↑24 juin 2020, 07:47Si vous voulez deschaussures classiques pour homme genre derby bottines, richelieu etc, y'a des marques françaises qui en font de bonnes : Heschung, Jacques et Demeter...
Je vais me rabattre vers des Finsbury, voir Bexley que j'avais eu à une époque et qui avaient bien tenue.
Par contre ça n'est pas made in france, mais fait travailler des tanneries française.
Niveau couture, il vaut mieux privilégier quoi ?
Oui, je connais. Très bonne qualité.Nounou a écrit : ↑03 juil. 2020, 14:03Une recherche google sur le nouveau premier ministre retourne aussi ceci
https://www.couette-castex.com/content/ ... au-naturel
Couettes de luxe en duvet fabriquees a Dax
Esperant que le nouveau ne soit pas un bonnet de nuit
Et ne laisse pas des plumes durant son mandat
Très bon oreillers testé par votre serviteur.Nounou a écrit : ↑03 juil. 2020, 14:03Une recherche google sur le nouveau premier ministre retourne aussi ceci
https://www.couette-castex.com/content/ ... au-naturel
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Et ne laisse pas des plumes durant son mandat
Il est écrit nulle part que ces masques sont fabriqués en France! Tu as vu ca où?Hippopotameuuu a écrit : ↑04 août 2020, 15:19La maladie n’empêche pas l'élégance made in France.
A acheter avec votre prime Covid.
https://www.lacoste.com/fr/lacoste/homm ... s/masques/
La couette en duvet est arrivee, en profitant des des soldes. Bien legere et moelleuse.Ferrari a écrit : ↑03 juil. 2020, 14:30Très bon oreillers testé par votre serviteur.Nounou a écrit : ↑03 juil. 2020, 14:03Une recherche google sur le nouveau premier ministre retourne aussi ceci
https://www.couette-castex.com/content/ ... au-naturel
Couettes de luxe en duvet fabriquees a Dax
Esperant que le nouveau ne soit pas un bonnet de nuit
Et ne laisse pas des plumes durant son mandat
Vrais plumes et duvet, fabriqué en France depuis 1870 !
Allez-y les yeux fermés !
Covid 19 : Lacoste se mobilise pour fabriquer des masques de protection. Dans l’atelier des Gayettes à Troyes, la fabrication a commencé le lundi 23 mars avec 30 salariés volontaires. Avec une production de 700 masques/jour
Hippopotameuuu a écrit : ↑04 août 2020, 15:39Covid 19 : Lacoste se mobilise pour fabriquer des masques de protection. Dans l’atelier des Gayettes à Troyes, la fabrication a commencé le lundi 23 mars avec 30 salariés volontaires. Avec une production de 700 masques/jour
https://www.smart-appart.fr/fr/actualit ... protection
Pour le textile ça se passe différemment.wasabi a écrit : ↑23 juin 2020, 15:58c'est classique. Et comme le dit l'article d'Europe1, ils ont réussi à trouver où était l'usine qui fabriquait les contrefaçons -rappelons que contrefaçon ça ne signifie pas moins bien ou sous produit, ça signifie produit violant la propriété intellectuelle, donc si l'usine fait une deuxième série avec les mêmes machines et les mêmes ouvriers en double comptabilité c'est de la contrefaçon- alors que ça n'arrive jamais de le savoir... ça met la puce à l'oreille quand même.
Pi-r2 le 10 mars 2020 a écrit : ↑10 mars 2020, 17:59on tape les 8000 cas dans 8 jours, les 100 000 avant la fin du mois. A la fin au moins 200 000 morts en France directement dus à ce virus.
ça c'est sûrement valable pour les pays du tiers monde où l'approvisionnement en matière première correcte est un défi. Mais si la sous traitance se fait en Chine, ils n'ont pas de mal à s'approvisionner en matière première supplémentaire de qualité similaire, amha.L2L a écrit : ↑05 août 2020, 15:00Pour le textile ça se passe différemment.wasabi a écrit : ↑23 juin 2020, 15:58c'est classique. Et comme le dit l'article d'Europe1, ils ont réussi à trouver où était l'usine qui fabriquait les contrefaçons -rappelons que contrefaçon ça ne signifie pas moins bien ou sous produit, ça signifie produit violant la propriété intellectuelle, donc si l'usine fait une deuxième série avec les mêmes machines et les mêmes ouvriers en double comptabilité c'est de la contrefaçon- alors que ça n'arrive jamais de le savoir... ça met la puce à l'oreille quand même.
Par exemple, une marque tel que HUGO BOSS va lancer un appel pour la fabrication de certains modèles avec cahier des charges.
Des usines de textiles répondent à ces appels d'offre. L'une d'elle décroche le contrat et va fabriquer pour HUGO BOSS. Mais ce n'est pas HUGO BOSS qui va fabriquer.
Cette usine va avoir une commande pour 20 000 Pièces par exemple. Mais techniquement elle peut en produire plus. D'ou les vrais faux.
Pour contrôler cela, ces usines sont généralement situées en Zone Franche. Toutes les matières importées sont notées dans un black book et doivent être réexportées après transformation.
Souvent, c'est même le commanditaire qui achète la matière première. Dans l'exemple présent, HUGO BOSS va faire une importation temporaire du tissus nécessaire pour fabriquer les 20 000 pièces, et l'usine ne sera rétribué que pour la façon. Et le tout devra être ré-exporter à HUGO BOSS (via le black book).
On laisse par contre souvent une marge de 10%. C'est à dire que pour fabriquer 20 000 pièces, HUGO BOSS va importer à l'usine sous-traitante la matière pour fabriquer 22 000 pièces de façon à couvrir les mal-façon et les chutes.
De ce fait, les usines vont souvent se retrouver avec 20 500 ou 21 000 pièces. Les 20 000 pièces officielles seront donc exportées vers HUGO BOSS. LEs pièces supplémentaires ne pourront pas être exportées.
Le consensus veut qu'on laisse ces usines sous-traitante les revendre sur le marché local en les ayant dégriffés au préalabale (ce qui clairement n'est pas contrôllé assidument). D'ou les magasins d'usine que l'on trouve à Antananarivo par exemple à des prix imbattable (j'ai eu un pantalon HUGO BOSS à 15 € une fois)
Ce n'est pas une question d'approvisionnement. Même dans le tiers monde on s'approvisionne sans problème. C'est juste fait pour contrôller la production de ces sous-traitants que c'est fait. Tissus fait dans un pays X, accessoire deans un pays Y et Z. Et on envoie le tout dans le pays de l'usine sous-traitante dans le pays P.wasabi a écrit : ↑05 août 2020, 15:38ça c'est sûrement valable pour les pays du tiers monde où l'approvisionnement en matière première correcte est un défi. Mais si la sous traitance se fait en Chine, ils n'ont pas de mal à s'approvisionner en matière première supplémentaire de qualité similaire, amha.L2L a écrit : ↑05 août 2020, 15:00Pour le textile ça se passe différemment.wasabi a écrit : ↑23 juin 2020, 15:58c'est classique. Et comme le dit l'article d'Europe1, ils ont réussi à trouver où était l'usine qui fabriquait les contrefaçons -rappelons que contrefaçon ça ne signifie pas moins bien ou sous produit, ça signifie produit violant la propriété intellectuelle, donc si l'usine fait une deuxième série avec les mêmes machines et les mêmes ouvriers en double comptabilité c'est de la contrefaçon- alors que ça n'arrive jamais de le savoir... ça met la puce à l'oreille quand même.
Par exemple, une marque tel que HUGO BOSS va lancer un appel pour la fabrication de certains modèles avec cahier des charges.
Des usines de textiles répondent à ces appels d'offre. L'une d'elle décroche le contrat et va fabriquer pour HUGO BOSS. Mais ce n'est pas HUGO BOSS qui va fabriquer.
Cette usine va avoir une commande pour 20 000 Pièces par exemple. Mais techniquement elle peut en produire plus. D'ou les vrais faux.
Pour contrôler cela, ces usines sont généralement situées en Zone Franche. Toutes les matières importées sont notées dans un black book et doivent être réexportées après transformation.
Souvent, c'est même le commanditaire qui achète la matière première. Dans l'exemple présent, HUGO BOSS va faire une importation temporaire du tissus nécessaire pour fabriquer les 20 000 pièces, et l'usine ne sera rétribué que pour la façon. Et le tout devra être ré-exporter à HUGO BOSS (via le black book).
On laisse par contre souvent une marge de 10%. C'est à dire que pour fabriquer 20 000 pièces, HUGO BOSS va importer à l'usine sous-traitante la matière pour fabriquer 22 000 pièces de façon à couvrir les mal-façon et les chutes.
De ce fait, les usines vont souvent se retrouver avec 20 500 ou 21 000 pièces. Les 20 000 pièces officielles seront donc exportées vers HUGO BOSS. LEs pièces supplémentaires ne pourront pas être exportées.
Le consensus veut qu'on laisse ces usines sous-traitante les revendre sur le marché local en les ayant dégriffés au préalabale (ce qui clairement n'est pas contrôllé assidument). D'ou les magasins d'usine que l'on trouve à Antananarivo par exemple à des prix imbattable (j'ai eu un pantalon HUGO BOSS à 15 € une fois)
Pi-r2 le 10 mars 2020 a écrit : ↑10 mars 2020, 17:59on tape les 8000 cas dans 8 jours, les 100 000 avant la fin du mois. A la fin au moins 200 000 morts en France directement dus à ce virus.
si P est la Chine, alors il y a possibilité de trouver en P des produits substituables aux produits de X, Y et Z.L2L a écrit : ↑05 août 2020, 15:40Ce n'est pas une question d'approvisionnement. Même dans le tiers monde on s'approvisionne sans problème. C'est juste fait pour contrôller la production de ces sous-traitants que c'est fait. Tissus fait dans un pays X, accessoire deans un pays Y et Z. Et on envoie le tout dans le pays de l'usine sous-traitante dans le pays P.