Tu ne veux pas comparer les usa avec l'Europe mais tu compares New York avec Parissupermascotte a écrit : ↑28 août 2020, 08:57D'une part tu peux pas comparer le marché immobilier dans son ensemble. C'est pour ça que les professionnels de l'immobilier claironnent que les prix grimpent tandis qu'ils essayent de cacher sous le tapis le fait que les prix baissent dans des villes comme Paris et Bordeaux. Les prix hors métropole augmentent vraisemblablement tandis que les bulles immobilières en métropole sont en train d'exploser. Regarde New York cest des baisses à deux chiffres et en particulier à Manhattan cest une baisse de 24 %.jobserve75 a écrit : ↑28 août 2020, 08:38Les effets de la politique monétaire de la fed aux states :
Les indices des valeurs technologiques ont atteint des sommets
Le Dow Jones est positif sur 2020
Les ventes immobilières explosent : https://www.lavieimmo.com/immobilier-in ... 49238.html
Et cela malgré une flambée du chômage.
Nous assistons à la formation d’énormes bulles aux USA.
Les effets du QE de la BCE auront-ils les mêmes effets? A voir donc dans quelques mois.
Ensuite la comparaison entre les US et l'Europe est complètement débile.
Aux US, à l'inverse de la zone Euro, en 2019, les taux directeurs étaient remontés à 2.25%. Avec la crise du coronavirus, ils ont baissé à fond les taux pour tomber presque à zéro. Ca donne un booster de malade au marché immobilier.
En zone Euro, par contre avec la crise les taux d'intérêt sont restés là où ils étaient, c'est-à-dire zéro. Donc en zone euro, malgré la politique de la BCE, il n'y a aucun booster pour le marché immobilier. Pire, la BCE par l'intermédiaire des banques centrales de chaque pays de la zone euro restreint le crédit immobilier pour essayer de faire dégonfler les bulles immobilières. D'où la restriction du crédit immobilier qu'on constate et le fait que le marché immobilier ne fera pas l'objet d'une inflation, bien au contraire.
Bref un peu d'objectivité ne vous ferait pas de mal.
Aux USA, la rentabilité locative est plus élevée. Il faut surtout comparer le différentiel de rentabilité locative avec celui des OAT. Les USA ont plus de marge, c'est certain.
Quant aux effets sur l'immobilier, il faut attendre encore pour voir si ça pétera ou si ça attendra encore.
Ce n'est pas faire manque d'objectivité, surtout quand on voit le marché immobilier qui ne semble pas bloqué en France.