Chute du nombre de nouveaux baux de 58% par rapport à 2019 à la meme période de l'année.
Augmentation du taux de vacance des bureaux en particulier à la défense ou il monte à 7.6%.
Est-ce que ca sentirait pas le sapin par hasard ?
![Mr. Green :mrgreen:](./images/smilies/icon_mrgreen.gif)
Ouais, c'est complètement hallucinant comme histoire...m.enfin a écrit : ↑13 oct. 2020, 13:17henda a écrit : ↑12 oct. 2020, 20:36Si c'est pour que ça finisse par l'arrivée d'une nouvelle population de citadins aigris qui veulent interdire les clochers, les coqs, les cigales, les vaches, ...ParisIDF92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 09:50La célèbre Creuse! Qui est ici journaliste du Parisien?
https://www.leparisien.fr/societe/prix- ... 400984.php
Prix de l’immobilier, nature… depuis le confinement, la Creuse n’en finit plus de séduire
[...]![]()
https://frontpopulaire.fr/o/Content/co2 ... riculteurs
Yvelines : des propriétaires se liguent contre un couple d’agriculteurs![]()
"Seulement voilà, le projet est très mal accueilli par trois propriétaires voisins, dont l’éditrice Odile Jacob"
"Elle l’a fait savoir par l’intermédiaire de son avocate, qui n’est autre que…l’ancienne ministre de l’environnement et écologiste revendiquée, Corine Lepage !"
"Une partie des opposants n'est sur place que 150 jours par an"
"dans un souci d’apaisement, le projet d’installation a été modifié, les bâtiments ayant été théoriquement – les travaux n’ont pas encore commencé - déplacés à l’opposé des habitations, soit précisément à 450 mètres de la première maison des riverains"
Prenons deux exemples pour faire avancer la réflexion. Qu'est ce qui est rédhibitoire pour toi dans ces deux appartements par exemple?Ben92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:49La photo 5 permet de voir un vis-à-vis dégueulasse : à vue de nez, environ 2 mètres !Vincent92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:38Si le copain d'Ave n'a rien contre les travaux, nous montons en gamme : Sud du 11ième (rue de la roquette/Métro voltaire), 3ième avec ascenseur, immeuble parisien : 399k€ (9 273€/m2)
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... 2&natures=
Ne te fatigue pas à chercher un appartement sans défaut rédhibitoire à moins de 10k le m² IM : ça n'existe pas (le défaut rédhibitoire pouvant aussi être le quartier, of course)
Me concernant, j'ai vendu il y a presque 2 ans un appartement de 200m2 pour aller dans un appartement plus petit de 115m2 + terrasse (il m'a coûté bien plus qu'1M€). Donc j'ai libéré de l'espace sur Paris.optimus maximus a écrit : ↑13 oct. 2020, 13:39Il a tout intérêt à vendre s'il a une petite retraite, mais la question n'est pas vraiment là.goinfrimmo a écrit : ↑13 oct. 2020, 13:13Jobserve75 approche de la retraite et habite un appart à 1M€ sans enfant. Que doit-il faire ?
S'attacher à des cas (très) particuliers pour inférer l'intérêt général à travers la rédaction des lois ce n'est pas une conception du monde que je trouve très saine.
En France, on a de plus en plus de mal à comprendre qu'on ne légifère pas pour trente personnes (je force le trait).
Le fait de vivre et de faire société nécessite d'éviter en amont ce genre de situations absurdes (disproportion conséquente entre revenus et patrimoine) et ce n'est pas la loi qui le permet (la loi est une constatation ex post d'un état de fait).
S'il y en a 10 dans ce cas, ils comprendront qu'ils n'ont pas le choix. Quand ils sont 10 000 (ce qui n'est pas beaucoup dans l'absolu) ils commencent à s'organiser pour contourner l'évidence. Faire société, c'est éviter « spontanément » de passer de 10 à 10 000 situations aberrantes.
Non. 50 % de ces départs n'étaient pas prévus et c'est bien trop sensible, trop d'implication politique pour des fermetures de classes à la rentrée : les maires d'arrondissement qui gueulent, les parents qui gueulent, les profs qui gueulent... Donc statut quo. Ce sera corrigé à l'avenir + ou - rapidement si il y a un ministre de l'EN un peu burné.Gpzzzz a écrit : ↑13 oct. 2020, 09:48Ca fait quand même presque 150 classes qui n'ont donc pas réouvertes en Septembre !Cagou780 a écrit : ↑13 oct. 2020, 08:27https://www.leparisien.fr/paris-75/apre ... 401260.php
Les écoles parisiennes se vident : 3700 élèves en moins dans les établissements publics du premier degré à la dernière rentrée ! Une accélération inédite qui touche même le privé pour la première fois.
« Nous avions 23,4 élèves par classe en moyenne en 2017 et nous sommes maintenant à 21,2. Cela nous aide à avoir un meilleur taux d'encadrement pour les élèves, leur nombre par classe baisse », assure le rectorat, tout en précisant avoir « dédoublé deux tiers des classes de grande section en éducation prioritaire. » De quoi renforcer des inégalités avec des départements moins bien lotis. « On est sans doute plus avantagé que la Seine-Saint-Denis ou le Val-de-Marne », concède Patrick Bloche. Dans l'académie de Versailles, le taux d'encadrement était de « 23,7 l'an dernier »…
Le 1er : immeuble 1957, chauffage central au sol, donc potentiellement charges élevées, certainement autour des 4 ou 5ke. C'est un truc qui ne me plairait que mon appart soit chauffé par le sol. Immeuble de 10 étages donc grosse copro à prévoir, attention danger.Vincent92 a écrit : ↑13 oct. 2020, 18:02Prenons deux exemples pour faire avancer la réflexion. Qu'est ce qui est rédhibitoire pour toi dans ces deux appartements par exemple?Ben92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:49La photo 5 permet de voir un vis-à-vis dégueulasse : à vue de nez, environ 2 mètres !Vincent92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:38Si le copain d'Ave n'a rien contre les travaux, nous montons en gamme : Sud du 11ième (rue de la roquette/Métro voltaire), 3ième avec ascenseur, immeuble parisien : 399k€ (9 273€/m2)
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... 2&natures=
Ne te fatigue pas à chercher un appartement sans défaut rédhibitoire à moins de 10k le m² IM : ça n'existe pas (le défaut rédhibitoire pouvant aussi être le quartier, of course)
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... ?projects=
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Pas de souci, les prix montent,canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 03:12Concernant celui que tu as posté encore avant, il s'agit d'un cabinet médical sans cuisine donc potentiellement pas de salle de bain non plus. Donc sans pièce d'eau normal que le prix soit si bas en plus qui donne sur cour uniquement (très calme dans l'annonce) et sans ascenseur.Vincent92 a écrit : ↑13 oct. 2020, 18:02Prenons deux exemples pour faire avancer la réflexion. Qu'est ce qui est rédhibitoire pour toi dans ces deux appartements par exemple?Ben92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:49La photo 5 permet de voir un vis-à-vis dégueulasse : à vue de nez, environ 2 mètres !Vincent92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:38Si le copain d'Ave n'a rien contre les travaux, nous montons en gamme : Sud du 11ième (rue de la roquette/Métro voltaire), 3ième avec ascenseur, immeuble parisien : 399k€ (9 273€/m2)
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Le chauffage au sol me semble plutôt une bonne chose. Les bâtiments neufs premium (par exemple les bureaux) ont d'habitude ce type de chauffage. Avoir des radiateurs fait moche et vieux.canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 03:12Le 1er : immeuble 1957, chauffage central au sol, donc potentiellement charges élevées, certainement autour des 4 ou 5ke. C'est un truc qui ne me plairait que mon appart soit chauffé par le sol. Immeuble de 10 étages donc grosse copro à prévoir, attention danger.Vincent92 a écrit : ↑13 oct. 2020, 18:02Prenons deux exemples pour faire avancer la réflexion. Qu'est ce qui est rédhibitoire pour toi dans ces deux appartements par exemple?Ben92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:49La photo 5 permet de voir un vis-à-vis dégueulasse : à vue de nez, environ 2 mètres !Vincent92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:38Si le copain d'Ave n'a rien contre les travaux, nous montons en gamme : Sud du 11ième (rue de la roquette/Métro voltaire), 3ième avec ascenseur, immeuble parisien : 399k€ (9 273€/m2)
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Ne te fatigue pas à chercher un appartement sans défaut rédhibitoire à moins de 10k le m² IM : ça n'existe pas (le défaut rédhibitoire pouvant aussi être le quartier, of course)
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On avance. Il faut donc chercher un appartement dans un quartier bobo (donc supérieur à la moyenne), avec des charges maîtrisées (pas trop de problème de ce côté là vu le parc parisien), une belle hauteur sous plafond (pas trop compliqué non plus), avec pas ou peu de vis à vis (donc très supérieur à la moyenne), relativement lumineux et calme (ce qui supprime pas mal d'appartements qui donnent soit entièrement sur cour soit entièrement sur avenue/boulevard et qui place la recherche davantage dans du qualitatif largement supérieur à la moyenne) et avec un ascenseur (on supprime encore une bonne partie des appartements). Mais bon, comme il y a plus de 17k annonces en ce moment, on doit pouvoir chercher.canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 03:12Le 1er : immeuble 1957, chauffage central au sol, donc potentiellement charges élevées, certainement autour des 4 ou 5ke. C'est un truc qui ne me plairait que mon appart soit chauffé par le sol. Immeuble de 10 étages donc grosse copro à prévoir, attention danger.Vincent92 a écrit : ↑13 oct. 2020, 18:02Prenons deux exemples pour faire avancer la réflexion. Qu'est ce qui est rédhibitoire pour toi dans ces deux appartements par exemple?Ben92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:49La photo 5 permet de voir un vis-à-vis dégueulasse : à vue de nez, environ 2 mètres !Vincent92 a écrit : ↑12 oct. 2020, 15:38Si le copain d'Ave n'a rien contre les travaux, nous montons en gamme : Sud du 11ième (rue de la roquette/Métro voltaire), 3ième avec ascenseur, immeuble parisien : 399k€ (9 273€/m2)
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Ne te fatigue pas à chercher un appartement sans défaut rédhibitoire à moins de 10k le m² IM : ça n'existe pas (le défaut rédhibitoire pouvant aussi être le quartier, of course)
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Le deuxième, la hauteur sous plafond semble très basse surtout au niveau de la chambre, il suffit de regarder par rapport à la fenêtre. 2m30/40 max donc ca vaut rien.
Concernant celui que tu as posté encore avant, il s'agit d'un cabinet médical sans cuisine donc potentiellement pas de salle de bain non plus. Donc sans pièce d'eau normal que le prix soit si bas en plus qui donne sur cour uniquement (très calme dans l'annonce) et sans ascenseur.
Immobilier : +20%, les maisons en petite couronne atteignent «des prix délirants»
Avec la flambée des prix sur la capitale, la clientèle parisienne s’est reportée ces dernières années sur la banlieue, et notamment les villes de la petite couronne, ce qui a eu pour effet de faire monter les prix.
«J'ai cinquante acheteurs potentiels pour une annonce»
« C'est une réalité. Ça a explosé ! confirme Loïc N'Diagbeni, directeur de Direct immobilier, une agence de Maisons-Alfort. Ici, le mètre carré d'une maison varie selon lui de 5 000 euros dans le quartier Verts-de-Maison à 6500 euros dans le quartier de Charentonneau. « Une maison, tout le monde en rêve, mais ici, il y en a très peu (NDLR : la part des maisons est de 16,2 % selon Meilleurs Agents). Et quand il y en a, ça se vend en trois jours. J'ai cinquante acheteurs potentiels pour une annonce », reprend le professionnel.
alexlyon a écrit : ↑14 oct. 2020, 08:35Il faut investir son épargne, dangereusement stockée dans la monnaie :
https://www.boursorama.com/videos/actua ... ab3ad63f18
quelle surprise, avec des dépenses qui se standardisent (certaines sont devenues impossibles), le choix de LREM de payer en fonction du statut (garder les mêmes revenus qu'avant sans travailler) au lieu du travail (revenus nuls pendant le confinement, qu'on aurait pu remplacer par un minimum vital), et de favoriser la rente (non gelée, ni réduite) sur le travail, était bien naturel pour le président des riches.Quand 10% des plus riches concentrent 50% de l'épargne accumulée depuis le confinement
Le seul intérêt d'un immeuble 70's c'est d'avoir un balcon. Un immeuble 70's sans balcon c'est triste. On est imite le 20è le prix de 10000/m² est parfaitement normal. Ca n'aurait pas été plus cher avant l'été.
Vue sur un mur à 3m. Gros doute sur la hauteur sous plafond notamment dans la partie chambre dont le sol est surélevé. Ce n'est pas un appartement normal.Vincent92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 09:06Immeuble plus ancien : https://www.seloger.com/annonces/achat- ... ?projects=
Si maintenant on anticipe sur le prix négocialble on n'en finit plus... Tenons nous en au prix des annonces.Vincent92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 09:06En 2 pièces (sur le marché depuis longtemps. On peut probablement avoir à 10k€/m2) :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... projects=2
Encore une fois, tout cela n'est pas très constructif. On ne peut pas capter ce que tu cherches et proposer des biens correspondant si tu n'es que dans la critique. Et on ne peut pas faire plusieurs recherches en même temps d'ailleurs.Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:26Le seul intérêt d'un immeuble 70's c'est d'avoir un balcon. Un immeuble 70's sans balcon c'est triste. On est imite le 20è le prix de 10000/m² est parfaitement normal. Ca n'aurait pas été plus cher avant l'été.Vue sur un mur à 3m. Gros doute sur la hauteur sous plafond notamment dans la partie chambre dont le sol est surélevé. Ce n'est pas un appartement normal.Vincent92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 09:06Immeuble plus ancien : https://www.seloger.com/annonces/achat- ... ?projects=Si maintenant on anticipe sur le prix négocialble on n'en finit plus... Tenons nous en au prix des annonces.Vincent92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 09:06En 2 pièces (sur le marché depuis longtemps. On peut probablement avoir à 10k€/m2) :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... projects=2
Les grands deux pièces sont toujours un peu moins cher au m² que les deux pièces de de ~40 m² ou les trois pièces de ~60 m².
Mais là, c'est très cher, surtout pour du limite 20è et du 1960 moche sans balcon (les 60's sont pires que les 70's)
Ton premier appart a ses fenêtres au-dessus du métro aérien. Effectivement, ce n'est pas l'appartement moyen parisien.Vincent92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:21Et si l'on cherche du plus qualitatif, c'est à dire bel immeuble ou vue particulière, étage élevé avec ascenseur, voir éventuellement un balcon dans un très beau quartier, cela commence à 11k€/m2. Par exemple :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... ?projects=
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... ?projects=
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... ?projects=
Mais je pense qu'on peut s'entendre sur le fait qu'on n'est plus vraiment de l'appartement moyen parisien.
Il est évident que si. A la recherche des défauts à mettre en avant. Je n'avais pas vu que le premier était loué mais je pourrais en mettre d'autres de même qualité. Je note donc qu'ils correspondent à ce que tu appelles des biens "corrects".Ben92 a écrit :Je n'ai pas regardé les autres mais
"Grand" (pour Paris) appartement pas loin du périph'. Dans les appartements que j'ai pris, j'ai sélectionne moins de 80m2, qui ont plus de mal à partir en moment.Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:45Moi j'ai trouvé ça :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... 141397.htm
Il a des défauts certes mais 8878€/m² pour du 1990 avec balcon et parking, c'est quoi l'astuce ?
Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:45Moi j'ai trouvé ça :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... 141397.htm
Il a des défauts certes mais 8878€/m² pour du 1990 avec balcon et parking double, c'est quoi l'astuce ?
Edit : je pense que c'est parce c'est une surface inhabituelle pour un 3 pièces.
Je ne crois pas pour la copro (c'est au 15 rue fizeau l'immeuble a l'air clean), mais oui pour le no man's land sans métro.canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:53peut être une copro avec des difficultés au bord de la banque route.
En tout cas c'est le pire coin du 15eme. A côté des voies de chemin de fer et pour récupérer le métro à convention ligne 12, cela semble être à plus de 1kms. Bref une sorte de no man's land dans Paris
Dans ton arrondissement : https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... ?projects=canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:53Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:45Moi j'ai trouvé ça :
https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... 141397.htm
Il a des défauts certes mais 8878€/m² pour du 1990 avec balcon et parking double, c'est quoi l'astuce ?
Edit : je pense que c'est parce c'est une surface inhabituelle pour un 3 pièces.
peut être une copro avec des difficultés au bord de la banque route.
En tout cas c'est le pire coin du 15eme. A côté des voies de chemin de fer et pour récupérer le métro à convention ligne 12, cela semble être à plus de 1kms. Bref une sorte de no man's land dans Paris
A partir du moment où tu trouves du qualitatif dans des annonces des beaux quartiers à 11k€/m2, c'est normal de trouver de qualitatif à 8,8k€/m2 à côté du périph'.Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 15:02Je ne crois pas pour la copro (c'est au 15 rue fizeau l'immeuble a l'air clean), mais oui pour le no man's land sans métro.canti a écrit : ↑14 oct. 2020, 14:53peut être une copro avec des difficultés au bord de la banque route.
En tout cas c'est le pire coin du 15eme. A côté des voies de chemin de fer et pour récupérer le métro à convention ligne 12, cela semble être à plus de 1kms. Bref une sorte de no man's land dans Paris
Concernant le vis-à-vis évoqué par Vincent je le trouve "moyennement proche" (environ 20m) , on le voit bien sur la photo 8.
Pour moi ça n'a rien à voir avec une vue sur l'immeuble d'en face dans une rue de 3m de large comme il y en a beaucoup dans le 11e.
Non, ce n'est pas mon objectif. Tu disais qu'il n'était pas possible de trouver un bien correct à Paris à moins de 10k€/m2. Après plusieurs messages, je comprends que par bien "correct" tu sous-entends bien dans un beau quartier en étage élevé avec ascenseur avec une vue dégagé d'un bel immeuble ou d'un immeuble des années 70 avec balcon.Si ton objectifest de démontrer que ça a baissé, ça va être difficile parce que ce n'est pas flagrant
Il y en a quelques uns. Maintenant, on pourra toujours dire sur cour mais avec vis à vis ou peu de vis à vis mais sur rue ou pas de vis à vis et pas de bruit car étage élevé mais immeuble des années 70 ou beaucoup de travaux à faire. C'est sûr qu'il y a des défauts et puisqu'il ne s'agira pas de bien "correct"/haut de gamme.Ben92 a écrit : ↑14 oct. 2020, 15:30La recherche de l'ami de Ave, c'était un 45m² "plutôt bien" dans l'ancien à 450000€ maximum si ma mémoire est bonne, donc à 10000€/m² maximum. Donc ce n'est pas possible si on est entre 10 et 11 pour du moyen. Surtout que dans le 11e c'est un budget et une surface avec beaucoup de concurrence (célibataires et jeunes couples sans enfant).
Les prix de l'immobilier ont tendance à stagner dans les grandes métropoles, selon le dernier baromètre de Meilleurs Agents relayé par Le Parisien
Bref, cela voudrait dire que la hausse visible sur la dernière mise à jour du tunnel de Friggit vient uniquement d'une chute du revenu des acquéreurs.Bilan : sur les trois derniers mois, à Lille, Paris ou Nice, les prix ont fléchi de 0,4 %. Une tendance comparable est observée à Toulouse et Bordeaux (- 0,3 %). Lyon résiste avec une hausse de 0,4 %, selon le baromètre.
Friggit ne prend il pas en compte l'indice Notaire-INSEE? Si c'est le cas, l'indice est par nature très en retard. Le T2 2020 correspondant à peine à la situation marché au T1 2020 (le temps que les compromis se signent et que les ventes se fassent). Et l'indice ne traite pas le marché à l'instant T. Donc, il y a un gros décalage temporel, facile 6 mois.slash33 a écrit : ↑15 oct. 2020, 07:25Immobilier : les prix stagnent dans les grandes métropoles, les villes moyennes résistent
Boursorama avec Newsgene, le 14/10/2020
https://www.boursorama.com/patrimoine/a ... 717399803aLes prix de l'immobilier ont tendance à stagner dans les grandes métropoles, selon le dernier baromètre de Meilleurs Agents relayé par Le ParisienBref, cela voudrait dire que la hausse visible sur la dernière mise à jour du tunnel de Friggit vient uniquement d'une chute du revenu des acquéreurs.Bilan : sur les trois derniers mois, à Lille, Paris ou Nice, les prix ont fléchi de 0,4 %. Une tendance comparable est observée à Toulouse et Bordeaux (- 0,3 %). Lyon résiste avec une hausse de 0,4 %, selon le baromètre.
Cela peut être simplement aussi moins de turn-over : Moins d'entreprises qui déménagent, moins de nouveaux baux.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 00:22Avec la fin du confinement, l'immobilier de bureaux en Ile-de-France n'a pas retrouvé son niveau d'avant la crise du Covid-19. Selon une étude de Knight Frank publiée jeudi, 275.000 mètres carrés de bureaux ont été pris à bail au troisième trimestre 2020, après 194.000 mètres carrés au deuxième trimestre.
Oh ben ouiBen92 a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:09Cela peut être simplement aussi moins de turn-over : Moins d'entreprises qui déménagent, moins de nouveaux baux.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 00:22Avec la fin du confinement, l'immobilier de bureaux en Ile-de-France n'a pas retrouvé son niveau d'avant la crise du Covid-19. Selon une étude de Knight Frank publiée jeudi, 275.000 mètres carrés de bureaux ont été pris à bail au troisième trimestre 2020, après 194.000 mètres carrés au deuxième trimestre.
Il faudrait voir le nombre de m² de bureaux libres, c'est un meilleur indicateur.
Conclusion, pour l'immobilier de bureaux, ce sera moins de surfaces louées et des baux renégociés à la baisse.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:22À la fin du mois de septembre 2020, la demande placée de bureaux en Île-de-France s’élève à seulement 913 200 m2, en baisse de 46 % sur un an et comparé à la moyenne décennale
Cet été n’a donc pas permis de renverser la tendance : entre juillet et septembre, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne s’élève à 246.200 mètres carrés, soit moitié moins que la même période l’année précédente (-58%).
L’offre immédiatement disponible, elle, a donc fortement progressé. Les bureaux vacants se sont en effet démultipliés en région parisienne pour atteindre 3 295 000 m² au 1er octobre 2020, soit + 10 % par rapport au trimestre précédent.
Voilà c'est du factuel ; pendant ce temps là les responsables de SCPI ou de foncières viennent nous expliquer que ça va mieux que bien et que bien sûr rendement et valorisation ne baisseront pas.Korn a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:27Conclusion, pour l'immobilier de bureaux, ce sera moins de surfaces louées et des baux renégociés à la baisse.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:22À la fin du mois de septembre 2020, la demande placée de bureaux en Île-de-France s’élève à seulement 913 200 m2, en baisse de 46 % sur un an et comparé à la moyenne décennale
Cet été n’a donc pas permis de renverser la tendance : entre juillet et septembre, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne s’élève à 246.200 mètres carrés, soit moitié moins que la même période l’année précédente (-58%).
L’offre immédiatement disponible, elle, a donc fortement progressé. Les bureaux vacants se sont en effet démultipliés en région parisienne pour atteindre 3 295 000 m² au 1er octobre 2020, soit + 10 % par rapport au trimestre précédent.
Discussion hier avec un ami du métier qui me dit que plusieurs foncières qu'il a en portefeuille pour ses clients risquent (avec une très forte probabilité) de revoir leur valorisation à la baisse. Ce qui est rare car il y a plusieurs façons de maintenir une valorisation. On doit seulement expertiser une partie de la valorisation tous les 6 mois et on a le droit de surévaluer jusqu'à 10% notamment.coolfonzi a écrit : ↑19 oct. 2020, 13:04Voilà c'est du factuel ; pendant ce temps là les responsables de SCPI ou de foncières viennent nous expliquer que ça va mieux que bien et que bien sûr rendement et valorisation ne baisseront pas.Korn a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:27Conclusion, pour l'immobilier de bureaux, ce sera moins de surfaces louées et des baux renégociés à la baisse.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:22À la fin du mois de septembre 2020, la demande placée de bureaux en Île-de-France s’élève à seulement 913 200 m2, en baisse de 46 % sur un an et comparé à la moyenne décennale
Cet été n’a donc pas permis de renverser la tendance : entre juillet et septembre, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne s’élève à 246.200 mètres carrés, soit moitié moins que la même période l’année précédente (-58%).
L’offre immédiatement disponible, elle, a donc fortement progressé. Les bureaux vacants se sont en effet démultipliés en région parisienne pour atteindre 3 295 000 m² au 1er octobre 2020, soit + 10 % par rapport au trimestre précédent.
Entre Unibail qui est passé de 130 € à 40€ et Klepierre de 35 € a 12 - 13 € l'action, parler d'une légère revalorisation à la baisse me fait doucement rire.Vincent92 a écrit : ↑19 oct. 2020, 15:09Discussion hier avec un ami du métier qui me dit que plusieurs foncières qu'il a en portefeuille pour ses clients risquent (avec une très forte probabilité) de revoir leur valorisation à la baisse. Ce qui est rare car il y a plusieurs façons de maintenir une valorisation. On doit seulement expertiser une partie de la valorisation tous les 6 mois et on a le droit de surévaluer jusqu'à 10% notamment.coolfonzi a écrit : ↑19 oct. 2020, 13:04Voilà c'est du factuel ; pendant ce temps là les responsables de SCPI ou de foncières viennent nous expliquer que ça va mieux que bien et que bien sûr rendement et valorisation ne baisseront pas.Korn a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:27Conclusion, pour l'immobilier de bureaux, ce sera moins de surfaces louées et des baux renégociés à la baisse.kamoulox a écrit : ↑19 oct. 2020, 12:22À la fin du mois de septembre 2020, la demande placée de bureaux en Île-de-France s’élève à seulement 913 200 m2, en baisse de 46 % sur un an et comparé à la moyenne décennale
Cet été n’a donc pas permis de renverser la tendance : entre juillet et septembre, la superficie totale de bureaux loués en région parisienne s’élève à 246.200 mètres carrés, soit moitié moins que la même période l’année précédente (-58%).
L’offre immédiatement disponible, elle, a donc fortement progressé. Les bureaux vacants se sont en effet démultipliés en région parisienne pour atteindre 3 295 000 m² au 1er octobre 2020, soit + 10 % par rapport au trimestre précédent.
Son avis personnel est qu'il n'y a pas à s'inquiéter un MT/LT, même s'il concède que certaines grandes entreprises risquent de demander moins d'espace de bureau.
On parlait de SCPI, pas de SIIC ou autres pierres papiers cotées. La valorisation ne se fait pas "au marché" (suivant qui veut acheter ou vendre des actions à tel prix à l'instant T).supermascotte a écrit : ↑19 oct. 2020, 18:48Entre Unibail qui est passé de 130 € à 40€ et Klepierre de 35 € a 12 - 13 € l'action, parler d'une légère revalorisation à la baisse me fait doucement rire.Vincent92 a écrit : ↑19 oct. 2020, 15:09Discussion hier avec un ami du métier qui me dit que plusieurs foncières qu'il a en portefeuille pour ses clients risquent (avec une très forte probabilité) de revoir leur valorisation à la baisse. Ce qui est rare car il y a plusieurs façons de maintenir une valorisation. On doit seulement expertiser une partie de la valorisation tous les 6 mois et on a le droit de surévaluer jusqu'à 10% notamment.
Son avis personnel est qu'il n'y a pas à s'inquiéter un MT/LT, même s'il concède que certaines grandes entreprises risquent de demander moins d'espace de bureau.
Pour un acheteur sur deux (53 % des sondés), la crise sanitaire pourrait avoir pour conséquence de faire baisser les prix des logements. De quoi rééquilibrer un marché immobilier en surchauffe et ramener à la raison des prix de vente de plus en plus déconnectés des revenus des Français... D’autre part, 55 % des acquéreurs potentiels pensent que le Covid pourrait entraîner une remontée de l’offre de logements disponibles (divorces, décès, déménagements à la campagne…). Là encore, de quoi atténuer la pénurie de biens à la vente qui caractérise le marché de l’immobilier hexagonal et regonfler les stocks en y réinjectant des appartements et des maisons…
Dans quelle mesure le Covid a-t-il rebattu les cartes du marché immobilier ? Quel a été son impact sur les projets d’acquisition ? Selon une étude SeLoger, alors que 43 % des sondés estiment que c’est - encore - le moment d’acheter, la même proportion avoue hésiter... Pour autant, si 4 futurs acquéreurs sur 10 se mettent à douter de l’opportunité de leur projet, seulement 14 % des personnes interrogées estiment que le timing n’est pas propice à un achat immobilier…
64 % des porteurs d’un projet immobilier d’achat ne nourrissaient aucune crainte quant à l’aboutissement de celui-ci. En avril, pour 7 futurs acheteurs sur 10, leur accession à la propriété n’était sujette à aucun aléa et en mai dernier, pour les ¾ des futurs acquéreurs, la quête d’un logement à acheter ne pouvait s’achever que par une happy end. À l’origine de cette érosion du capital confiance des Français, une crise sanitaire qui joue les prolongations et dont l'impact sur l’économie du pays fait peser une incertitude à l’égard de leur avenir immobilier…
81 % des acquéreurs (et 87 % des Franciliens) envisagent de financer leur projet en souscrivant un emprunt auprès d’une banque. Alors même que les conditions bancaires se sont durcies dès le mois de novembre dernier et qu’un certain nombre de dossiers - notamment ceux des primo-accédants - sont recalés, les futurs acheteurs sont tout de même 53 % à déclarer vouloir emprunter sur plus de 20 ans.
Et oui, en tant qu'acheteur je n'arrive pas à trouver d'appartement de meilleur rapport qualité-prix qu'avant le covid. Même si certains paraissent bien dans l'annonce, un coup de fil a vite fait de doucher les espoirs.dicktraci a écrit : ↑20 oct. 2020, 17:52https://www.lesechos.fr/amp/1257457
Baisse des prix ? Circulez il n' y en aura pas (selon les AI).
Ce désir de campagne semble cependant faire long feu. Si les recherches de maisons avec jardins et/ou piscines se sont multipliées, elles ne semblent pas, jusqu’à présent, s’être traduites par des ventes massives.
Difficile pour moi de juger de l'évolution du rapport qualité/prix. En tout cas, le stock monte (doucement) à Paris et à Boulogne.Ben92 a écrit : ↑20 oct. 2020, 20:01Et oui, en tant qu'acheteur je n'arrive pas à trouver d'appartement de meilleur rapport qualité-prix qu'avant le covid. Même si certains paraissent bien dans l'annonce, un coup de fil a vite fait de doucher les espoirs.dicktraci a écrit : ↑20 oct. 2020, 17:52https://www.lesechos.fr/amp/1257457
Baisse des prix ? Circulez il n' y en aura pas (selon les AI).
Je remarque qu'il y a moins de turn-over dans les annonces. Moins de ventes sans doute, mais aussi moins de mises en vente.
Plus de stock ne veut pas dire plus de choix si le stock se renouvelle peu.
ce que tu racontes doit être carrément flippant pour les vendeurs, ça veut dire qu'il est presque impossible de se débarasser de leur cochonnerie ?Ben92 a écrit : ↑21 oct. 2020, 17:31Plus de stock ne veut pas dire plus de choix si le stock se renouvelle peu.
Ce qui est important quand on cherche à acheter, c'est la fréquence d'apparition de nouveaux biens correspond à ses critères. Et je peux te dire qu'il y a moins souvent qu'avant de nouveaux apparts quia apparaissent.
Ben92 a écrit : ↑21 oct. 2020, 17:31Plus de stock ne veut pas dire plus de choix si le stock se renouvelle peu.
Ce qui est important quand on cherche à acheter, c'est la fréquence d'apparition de nouveaux biens correspond à ses critères. Et je peux te dire qu'il y a moins souvent qu'avant de nouveaux apparts quia apparaissent.
C'est ce que je dis depuis plusieurs semaines, les biens atypiques ou autre rdc ont soit baissé leurs prix soit ne se vendent pas https://www.seloger.com/annonces/achat/ ... l_Annonce même bien placé.lecriminel a écrit : ↑21 oct. 2020, 18:31ce que tu racontes doit être carrément flippant pour les vendeurs, ça veut dire qu'il est presque impossible de se débarasser de leur cochonnerie ?