Baisse en gamme des biens alimentaires (effondrement du bio), se reporter vers des produits avec des apports nutritionnels proches mais moins chers (moins de viande, plus d'œufs) et des ménages modestes qui se serrent la ceinture (sauter des repas), c'est la réalité quotidienne en France.Vincent92 a écrit : ↑27 août 2023, 11:29Quand c’est si rapide et brutal, on se dit en tout cas que certains sont contraints de consommer moins en biens.ddv a écrit : ↑27 août 2023, 10:43C'était trop dur de mettre le lien et le graphe en français (insee) ?WolfgangK a écrit : ↑04 juil. 2023, 20:58
Source https://www.insee.fr/en/statistiques/serie/010565748
Trouvé par https://unherd.com/thepost/blame-food-p ... ces-riots/
https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/010565748
A part ça, on ne peut rien conclure de ces chiffres. Les français ont moins consommé en biens, mais peut-être ont-ils plus consommé en "services" ? Par exemple, vu la hausse des tarifs du tgv, le POGNON supplémentaire dépensé dans un billet tgv ne sera bien évidemment pas dépensé dans un resto (par exemple). Peut-on alors dire que c'est un symptôme de "crise économique" ?
Surtout pour de l’alimentaire.
Il me semble que consommer dans un restaurant sur place est considéré comme un service et non bien.
On ne paie pas que la nourriture et/ou les boissons mais aussi le cadre et, justement, le service (la table et les couverts, le serveur, le plongeur, etc.).
Autre remarque : Peut on dire qu’on consomme plus de services si on achète le même billet pour 100€ à la place de 70€?
Sauf erreur de ma part, l’exemple n’est donc pas pertinent.
https://www.lsa-conso.fr/forte-chute-de ... ion,434614
https://www.lesechos.fr/idees-debats/ed ... ns-1969198