Manfred a écrit : ↑04 févr. 2025, 12:23
achillemo a écrit : ↑04 févr. 2025, 11:56
Goldorak2 a écrit : ↑04 févr. 2025, 09:39
As tu entendu parlé de la harangue de Baudot ? C'est dans cet esprit qu'ont été et sont formés les juges, et qu'ils appliquent la loi.
Je te la livre in extenso. Et tu verras pourquoi la criminalité explose, que les récidivistes prospèrent et que leurs victimes se multiplient et sont sans protection.
C'est pas la faute des muzz

?
Comme l'a dit goldo, il y a inadéquation entre les beaux principes humanistes et la culture de la population à sanctionner/rééduquer, qui est hélas très majoritairement de culture musulmane.
Le gauchisme judiciaire inspiré par Victor Hugo peut fonctionner sur une population telle qu'était la française jusque dans les années 60-70.
Il ne peut pas fonctionner sur une population de culture musulmane, qui va considérer cette justice comme étant faible, et donc non respectable.
Tu n'es pas le dernier à déplorer le laxisme de la justice. Et effectivement, il faudrait une justice beaucoup plus sévère, et une police bien plus brutale, pour mettre au pas la jeunesse "des quartiers".
Dans les pays musulmans, on ne rigole pas avec la police, et le passage devant le juge se limite rarement aux gros yeux de celui ci, une réprimande et un rappel à la loi.
C'est la rencontre de ces deux problèmes (gauchisme judiciaire et immigration islamique de masse) qui sape les fondements de la société française et en particulier évidemment son traitement de la criminalité.
Edit : car je pense que pris séparément, les deux problèmes seraient gérables :
1- gauchisme judiciaire dans une société apaisée sur des populations autochtones : ça pose quelques soucis, mais ça reste très gérable
2- immigration massive islamique : pose des soucis évidents, mais si la police et la justice étaient très sévères, ces populations seraient moins criminogènes, et au final mieux intégrées/assimilées. La masse continuerait d'être un souci pour tout un tas de raisons, mais en des proportions sensiblement moindres. D'ailleurs, il y a aussi des africains non musulmans qui posent des soucis en France en raison du laxisme judiciaire (probablement qu'ils s'appellent Kevin et Mattéo)
La justice inspirée par des valeurs humanistes/catholiques (qui valorise l’idée que les derniers sont les premiers, que les plus faibles ont raison, que la faute n'incombe pas toujours à celui qui connaît les méfaits mais à son éducation, ou encore qu’il faut tendre l’autre joue) peut, dans certains contextes, engendrer des problèmes. Cette approche, appliquée de manière excessive et mal équilibrée, manque de fermeté et n'est suffisamment de dissuader la délinquance.
La délinquance (des blousons noirs des années 50 aux gangs des banlieues des années 80) a toujours été un défi, mais aujourd’hui, cette violence semble s’être amplifiée, avec des comportements plus généralisés et plus débridés. Les délinquants semblent plus violents, en grande partie en raison d’un manque de recadrage efficace et d’une justice trop clémente.
Bien que, comme tu le suggères, l’importation de certaines populations avec leur propre dynamique sociale puisse en être une cause, je pense que cela ne constitue pas la principale explication.
Zola, en privilégiant systématiquement le point de vue des "victimes sociales" tout en minimisant la prise en compte de la responsabilité individuelle et
surtout en invisibilisant le point de vue de la "vraie" victime totalement absente de ses œuvres, a incontestablement exercé une grande influence.
S’il a cherché à sensibiliser sur les causes sociales des comportements déviants, il a négligé de mettre en lumière la responsabilité des individus dans la délinquance, ce qui peut, d’un point de vue judiciaire, nuire à une gestion plus équilibrée des problèmes de société.
Zola a permis de mieux comprendre les souffrances sociales, mais d'un autre côté, il a contribué à une vision de la délinquance qui minimise la nécessité de sanctions fermes et justes.