Merci pour la mise en post-it. La suite de l'histoire : 92, l'année de la loose
10/03/1992 : DOSSIER : IMMOBILIER SANS FRONTIERES - Le repli avant la reprise
Les marchés immobiliers n'affichent pas une éclatante santé, même si l'Allemagne réunifiée fait exception. Les grands investisseurs internationaux sont devenus prudents MANQUE de liquidités, absence de visibilité : de Tokyo à New-York et de Londres à Paris, les marchés immobiliers internationaux souffrent, grosso modo, des mêmes maux. Hormis l'Allemagne et Hongkong, tirés par des facteurs locaux de croissance (mais pour combien de temps ?), nul ne semble à l'abri. C'est peut-être la première fois qu'une même vague frappe ainsi toutes les métropoles en même temps.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=399778
10/03/1992 : DOSSIER : IMMOBILIER SANS FRONTIERES - Le marché allemand reste prometteur
Les investisseurs sont devenus plus circonspects après le boom de la réunification. L'heure est à l'optimisme prudent. Après le boom conjoncturel sans précédent de la réunification, l'Allemagne serait-elle aujourd'hui menacée de récession ? "Les investisseurs sont devenus hésitants, et comme toujours dans ces cas-là, la peur de la récession risque de nourrir la récession", affirme Robert Orr, directeur pour l'Allemagne du cabinet international Jones Lang Wootton à Francfort, l'un des leaders mondiaux pour l'immobilier commercial.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=399782
10/03/1992 : DOSSIER : IMMOBILIER SANS FRONTIERES - Les Japonais à l'affût
Après avoir placé massivement leurs capitaux à l'étranger, les grands investisseurs japonais de l'immobilier déchantent. La hausse des taux d'intérêt, la crise boursière et le resserrement du contrôle des prêts bancaires à l'immobilier décidé par le ministère des finances nippon ont considérablement renchéri le coût des opérations existantes et dissuadé de nombreux investisseurs de se lancer dans de nouveaux projets.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=399783
10/04/1992 :"Drôle de crise" dans l'immobilier - Le Crédit foncier confirme une baisse des transactions
"Le trait principal de la situation actuelle est le rétrécissement spectaculaire du marché, c'est-à-dire la baisse du nombre de transactions. Les valeurs ne se sont pas effondrées. Comparé à la brutalité des cycles anglo-saxons, on assiste à une drôle de crise" en France : ceux qui avaient mis en doute la véracité des chiffres des notaires sur l'évolution de l'immobilier parisien (une chute des transactions sans vrai recul des prix) en seront pour leurs frais : les experts du Crédit foncier de France (CFF) arrivent aux mêmes conclusions et constatent que la crise fait tâche d'huile.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=403459
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - Paris : le gel des transactions Le marché est bloqué. Les ventes sont en chute libre, mais les prix ne baissent pas vraiment
"PARIS ne s'est pas effondré." Les professionnels de l'immobilier ne l'avouent pas, mais ils poussent un "ouf" de soulagement : la récession du logement parisien est sans commune mesure avec la crise qui sévit dans les pays anglo-saxons ou au Japon. Certes, les temps sont durs mais les prix n'ont pas chuté de façon vertigineuse. Tant pis pour les ménages qui espéraient dénicher dans la capitale l'appartement de leur rêve pour une bouchée de pain ! L'élément caractéristique de cette "crise molle" (la formule est des experts du Crédit foncier de France) : le gel des transactions.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405098
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - La crise aux trois visages
Le logement est en passe de devenir l'un des dossiers noirs de la France. Personne ne détient les clés des trois crises qui le secouent : le gel du marché, la pénurie et l'exclusion des plus démunis. Le logement doit faire l'objet d'un nouveau contrat social, car sa situation est préoccupante. Dans une société sans idéologie, le quotidien constitue un enjeu politique. Faute de le prendre en compte, les pouvoirs publics risquent d'aboutir à des situations inquiétantes.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405099
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - Province : la crise autrement
Dans les grandes villes, la crise est bien là ; mais pas avec la même intensité qu'en région parisienne POUR une fois l'affaire est claire : les marchés immobiliers de la province souffrent en phase avec l'agglomération parisienne. Dans les grandes métropoles, en tout cas celles qui ont connu au cours des dernières années les mêmes évolutions que la capitale - dynamisme démographique et économique, forte activité immobilière, pression sur le centre-ville, différenciation du marché en segments de prix et de produits, - les faits sont là.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405115
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - Les banques malades de l'immobilier
Face à l'atonie du marché où elles s'étaient fortement engagées, les banques souffrent et tentent de se défausser d'encombrantes créances. En attendant la reprise, que personne ne voit venir LA banque, c'est le risque, celui de la défaillance du client emprunteur et de la perte qui en résulte soit sur les intérêts non versés, soit sur le montant du prêt mal remboursé ou pas remboursé du tout, soit sur les deux.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405119
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - Expertise : l'angoisse du juste prix
L'estimation d'un logement nécessite de la méthode et de l'expérience. Les pratiques varient selon les professionnels AVEC son imperméable à toute épreuve, sa lourde sacoche et ses petites lunettes cerclées de métal, Georges Hantat, inspecteur du Crédit foncier, parle de l'expertise immobilière comme un artiste de sa dernière toile. C'est que, au-delà des connaissances de base et de l'expérience, il y a tout un art pour approcher les lieux. "Ne jamais se précipiter, explique l'expert. Mais s'imprégner d'abord du quartier.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405465
23/04/1992 : SUPPLEMENT : HABITAT 92 - Les vérités des fichiers
En temps de crise, les professionnels ont soif de certitudes. Pour eux, les fédérations et le ministère de l'équipement affûtent leurs outils statistiques. Apparition de "golden boys" dans la pierre, importance croissante du facteur confiance, succession de phases d'euphorie et de déprime : les observateurs ont souvent comparé les marchés immobiliers à la Bourse, ces derniers mois. Il y a toutefois une grande différence entre les deux marchés : dans l'immobilier, pas de lieu unique où l'offre rencontre la demande, point de CAC 40.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405117
31/05/1992 : La crise de l'immobilier parisien - La cote des décotes entre particuliers
La crise du marché immobilier francilien alimente la négociation entre acheteurs et vendeurs, qui baissent leurs prix de 15 % environ, selon la revue De particulier à particulier. Elle donne un instantané de l'immobilier parisien, une ville de riches qui perd ses enfants. Les Français sont, dit-on, de plus en plus joueurs. Après avoir découvert les charmes de la Bourse, ils se sont laissé séduire par ceux de l'immobilier, se passant autant que faire se peut (dans 53 % des cas) des services des professionnels.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=409159
28/04/1992 : MODE D'EMPLOI IMMOBILIER - L'or des chambres de bonne
Le moindre recoin de quelques mètres carrés sous les toits de Paris se loue à un prix exorbitant, une aubaine pour les investisseurs et un cauchemar pour les étudiants en quête de logement
"Recherche chambre désespérément..."
Les étudiants, baby-sitters, et autres apprentis en quête d'un logement bon marché (entendez "petit") à Paris s'arrachent les cheveux. Rares, chers, assortis de garanties ou cautions, souvent à la limite de la légalité...
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=405572
12/06/1992 : ILE-DE-FRANCE IMMOBILIER - Sombres perspectives pour la maison individuelle - Faute de terrains, les professionnels de l'immobilier redoutent une crise du pavillon de banlieue
Une résidence principale sur quatre en Ile-de-France est une maison ou un pavillon et relève donc de l'habitat individuel, par opposition aux immeubles ou grands ensembles collectifs. Cette proportion, stable depuis le milieu des années 80 mais deux fois moins élevée que la moyenne nationale, se rétrécit au fur et à mesure que l'on approche du centre de l'agglomération parisienne, pour s'accroître quand on s'en éloigne. A Paris, il faut avoir des ressources exceptionnelles pour s'offrir une maison individuelle, tant l'offre est rare.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=410609
13/06/1992 : Les notaires confirment la baisse des prix du mètre carré à Paris
L'immobilier parisien est bien en crise : les notaires, qui publient désormais des statistiques tous les trois mois, font état d'une baisse des prix de 2,85 % au premier trimestre, qui faisait retomber à 21 369 francs le prix moyen du mètre carré dans la capitale le 31 mars dernier. Sur un an, l'indice Notaires-INSEE "traduit un rythme annuel de baisse supérieur à 11 % en francs courants". Compte tenu du léger retard qu'ont toujours les statistiques des notaires, ces chiffres confirment les tendances dégagées récemment par une étude de Particulier à particulier, qui faisait état d'un recul comparable (le Monde daté 31 mai-1 juin) .
Les notaires montrent aussi un déplacement vers le bas du marché : le poids relatif des petits appartements et des arrondissements les moins chers s'est accentué. La chute du volume des ventes se poursuit : - 16,3 % au premier trimestre par rapport aux trois premiers mois de 1990.
http://www.lemonde.fr/web/recherche-bre ... 753,0.html
09/07/1992 : La crise de l'immobilier de bureaux - Cinq marchands de biens sauvés de la faillite
Une vingtaine de banques sont parvenues dans la nuit du mardi 7 au mercredi 8 juillet à un accord à l'amiable, élaboré sous l'égide du tribunal de commerce de Paris, avec cinq marchands de biens qui évitent ainsi un dépôt de bilan. Le patrimoine immobilier en jeu s'élève à 5 milliards de francs. On ne connaissait pas mercredi matin les détails de l'accord à l'amiable, qui devrait rester théoriquement confidentiel, ni l'ampleur du sacrifice - sans doute important - consenti par les banques créancières des cinq marchands de biens en question.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=413710
01/08/1992 : Le blocage des loyers sera reconduit
Le blocage des loyers du secteur privé en Ile-de-France, fixé par décret l'an dernier, sera reconduit pour un an à partir du 31 août, malgré l'avis défavorable, rendu jeudi 30 juillet, par la commission nationale de concertation (qui représente propriétaires et locataires). Ce nouveau décret, examiné dans les prochains jours par le Conseil d'Etat avant sa publication officielle, limite les hausses de loyer à l'augmentation de l'indice du coût de la construction pour les renouvellements de baux des locataires en place.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=415894
01/09/1992 : MODE D'EMPLOI LOGEMENT - 3615 code ruine
La dépression du marché immobilier aidant, les serveurs Minitel spécialisés dans les petites annonces de logement se sont multipliés. Des services somme toute assez décevants et coûteux... "Vous cherchez à louer ou à acheter l'appartement de vos rêves, tapez 3615 code XXXX" : Les murs de la capitale, les wagons du métro et les pages de journaux se sont couverts, ces derniers mois, de petites affiches pour encourager le chaland à consulter tel ou tel serveur Minitel dans ses recherches immobilières. Mais l'exercice peut, si l'on n'y prend garde, s'avérer onéreux et peu probant.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=418445
15/09/1992 : Perspectives Prix: La guerre sans merci - Logement parisien : la douche écossaise
Le retour de bâton n'a pas été aussi fort à Paris qu'à Londres ou Tokyo. Néanmoins, la baisse de l'immobilier, annoncée depuis un an par les Cassandres, est bel et bien là : dans la capitale, le recul des prix des appartements est de 7,7 % en moyenne depuis le début de l'année, ce qui met le mètre carré à 20 308 francs. La baisse s'est accélérée au deuxième trimestre : - 4,8 % contre - 3 % pour le premier. L'analyse par quartiers est des plus intéressantes. D'abord, l'écart entre les quartiers les plus chers et ceux meilleur marché se réduit.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=420003
06/10/1992 : OPINIONS CHRONIQUE - Les milieux financiers et l'immobilier
C'EST l'ensemble du système monétaro- financier qui est, directement ou indirectement, touché par la déflation qui frappe de plein fouet l'immobilier. Redoutant un effondrement du marché, les banques s'efforcent par tous les moyens de le soutenir. Ce faisant, elles risquent, au détriment de l'économie tout entière, de pousser à son paroxysme une crise qui est largement la conséquence de leur action passée. Sans les crédits qu'elles ont, sans compter, octroyés aux promoteurs et acheteurs de 1986 à 1990 (comme naguère aux emprunteurs latino-américains...
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=422607
13/10/1992 : Actualité Immobilier: le grand frisson - Les banquiers et les promoteurs serrent les rangs
Marchands de biens, banquiers, agences immobilières, notaires et entreprises du bâtiment, tous les professionnels sont passés en quelques années de l'euphorie au cauchemar. Encore le pire a-t-il été jusqu'ici évité. Les banques ont préféré tenir à bout de bras les promoteurs plutôt que d'engager une opération vérité de type anglo-saxon dont les conséquences auraient été catastrophiques pour tout le secteur.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=423274
15/10/1992 : IMMOBILIER D'AFFAIRES - Le dilemme des banques : étaler les pertes ou solder - Avec 150 milliards de francs de crédits à risques, les établissements financiers s'efforcent d'amortir la dévalorisation de leurs actifs
"C'est la pire crise immobilière que la France ait connue depuis les années 30", soupire un banquier, ajoutant : "Elle est beaucoup plus grave qu'on ne le dit car, aujourd'hui, les possibilités de relance de l'économie sont beaucoup plus réduites que lors des crises précédentes, en 1962, en 1968-1969, en 1974-1976 et entre 1981 et 1986." Pour des vendeurs de "pierre", l'environnement, il faut le dire, est sinistré.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=423582
15/10/1992 : IMMOBILIER D'AFFAIRES - Le spectre de l'"effet domino" - Au milieu de la crise générale de l'immobilier, ce sont les bureaux qui souffrent le plus. Tout le monde porte sa part du fardeau : les promoteurs, les marchands de biens et les banques
Après avoir cédé pendant des années à l'euphorie, le monde de l'immobilier est plongé aujourd'hui dans le pessimisme le plus noir. Les rumeurs alarmistes courent sur l'état de santé des grands promoteurs, "au bord de la rupture", assure-t-on. Chacun bat sa coulpe, confessant ses erreurs... et celles de son voisin. On s'interroge sur les banques, clé de voûte de l'édifice, qui dévoilent une à une l'ampleur de leurs engagements. Dans ce milieu, où foisonnent les forts en gueule, on spécule sur le nom du prochain promoteur qu'on dégradera publiquement pour lui faire payer ses pertes abyssales.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=423581
15/10/1992 : IMMOBILIER D'AFFAIRES - Les années glorieuses - Un cycle s'achève dans la construction de bureaux. Commencé en 1983, il a connu de 1987 à 1989 trois années exceptionnelles
En 1992, les professionnels de l'immobilier gèrent, ou digèrent, la crise. C'est l'année des bilans, des ajustements, des sauvetages. En attendant des jours meilleurs... Ainsi s'achève un cycle immobilier. On peut estimer qu'il a commencé en 1983. Entre-temps, le secteur a connu une formidable montée en puissance, et quelques années glorieuses. Un dynamisme dû à la conjonction de multiples facteurs : une bonne conjoncture générale, accentuée par une libéralisation du crédit et par la tertiarisation de l'économie, l'internationalisation des investissements immobiliers, l'assouplissement de la...
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=423617
17/11/1992 : C'est le moment d'acheter... pas de vendre
Avouons-le : nous sommes tous peu ou prou spéculateurs. Non pas qu'on en ait vraiment les moyens, mais je ne connais pas un "accédant à la propriété" - comme on appelle ceux qui se sont endettés pour vingt ans pour avoir un toit à eux sur leur tête - qui, au-delà de la nécessité de se loger, n'ait pas songé, ne serait-ce qu'un peu, à la "bonne affaire" qu'il était en train de réaliser à terme. Et une "bonne affaire", c'est quoi ? C'est acheter aussi peu cher que possible un bien que le temps valorisera, vite quand les prix flambent, plus lentement quand le marché traîne les pieds.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=427243
20/11/1992 : La crise de l'immobilier - La baisse des prix des logements a subi un coup d'arrêt à Paris
La baisse des prix du mètre carré dans l'ancien à Paris a marqué un coup d'arrêt au premier semestre 1992 : selon l'étude semestrielle faite par De particulier à particulier, ils ont même très légèrement augmenté, de 1,45 % par rapport aux six derniers mois de 1991. L'appartement type (53 mètres carrés) s'est vendu dans la capitale à 20 600 F le mètre carré contre 20 304 F au dernier semestre de 1991. Néanmoins, les prix de vente n'ont pas rattrapé le niveau qu'ils atteignaient un an auparavant (21 356 F), leur restant inférieurs de 3,5 %.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=427659
01/12/1992 : Pour répondre aux besoins des familles à bas revenus Mme Lienemann présente un "plan logement" pour l'Ile-de-France
L'Ile-de-France est sans doute la région dans laquelle la crise du logement est la plus aigüe, sous l'effet combiné de l'évolution démographique, de la spéculation immobilière et de la saturation du parc HLM. Elle pénalise particulièrement les ménages à bas revenus : on estime à 80 000 le nombre de mal-logés à Paris et à plus de 200 000 pour l'ensemble de la région. Mme Marie-Noëlle Lienemann, ministre délégué au logement, a donc présenté jeudi 26 novembre des mesures pour tenter de répondre à une partie de ces problèmes.
http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/ac ... -id=428819
Suite et fin (peut-être) demain.
[EDIT] : correction de problèmes de formatages