« Dans le meilleur des cas, les neurotechnologies servent à accroître votre autonomie, dans le pire, à tenter de vous contrôler »
Des techniques permettent aujourd’hui de traduire l’activité cérébrale en mouvements, en textes ou en paroles. Alors que les perspectives thérapeutiques semblent immenses, certaines entreprises proposent déjà des applications pour l’éducation et le monde du travail. Les neurobiologistes Robert Knight, de Berkeley, et Hervé Chneiweiss, de l’Inserm, échangent sur les enjeux éthiques liés à ces innovations.