Gard : « Nous n’avons droit à rien »… Virés par un message WhatsApp, ils se retrouvent piégés par leur entreprise
26 salariés de Trans Cévennes Express ont été licenciés par WhatsApp le 6 avril. Ils manifestent devant le tribunal pour réclamer la mise en liquidation de leur entreprise, car ils ne peuvent ni toucher des indemnités, ni travailler ailleurs