France - Libération - Economie

La rédaction de «Libération» compile les principales infos de ce mercredi 2 avril.

L’acteur, âgé de 65 ans, diagnostiqué d’un cancer de la gorge en 2014, est mort d’une pneumonie, a annoncé sa fille Mercedes au «New York Times».

Malgré certaines réserves, la proposition de loi transpartisane, portée par Véronique Riotton et Marie-Charlotte Garin, a été adoptée mardi soir 1er avril peu avant minuit, à 161 voix pour et 56 contre. Le texte doit maintenant partir au Sénat.

«Libé» vous guide dans les sorties cinéma de ce mercredi 2 avril avec aussi «Jeunesse (les Tourments)», «Songe», «Au pays de nos frères» et «The Grill». Bandes-annonces à l’appui.

Tiraillé entre territoire occupé et rêves d’avenir, le conte du cinéaste gazaoui suit la quête d’un jeune Palestinien pour retrouver son pigeon voyageur disparu.

En renonçant à prendre l’avion dès 2019, le compagnie Jérôme Bel a métamorphosé sa pratique artistique, en faisant circuler et adapter des pièces. Un pari radical favorable au climat autant qu’à la création collective.

Le sénateur du New Jersey a tenté dès lundi 31 mars au soir de perturber le fonctionnement du Sénat en monopolisant la parole. Dans la nuit de mardi à mercredi, après plus de vingt-cinq heures au pupitre, il est entré dans l’histoire en devenant l’auteur de la plus longue intervention jamais faite au Parlement des Etats-Unis.

Le gouvernement américain a lancé, ce mardi 1er avril, la suppression de 10 000 postes de fonctionnaires au ministère de la Santé et dans les agences sanitaires. Les employés ont appris la nouvelle le jour même, en se rendant au travail.

Au lendemain de la décision du tribunal correctionnel de Paris dans le procès des assistants parlementaires RN, les réactions continuent d’affluer sur l’inéligibilité pour la présidentielle de 2027 de la cheffe de file des députés du parti d’extrême droite.

Bien qu’interdit d’expulsion au risque de représailles dans son pays, le Salvadorien Abrego Garcia a été rapatrié le mois dernier et emprisonné. Le gouvernement américain dit ne plus pouvoir obtenir sa libération.

Politiques à l’Assemblée ou anonymes sur les réseaux sociaux, ceux qui remettent en cause le travail de la justice et dénoncent un prétendu «système» entretiennent un climat délétère pour la démocratie.

D’après les informations du «Canard enchaîné» et de l’AFP, la ministre de l’Education et ex-directrice de l’urbanisme de la ville de Paris, a été entendue pour apporter «son éclairage» dans l’enquête entourant l’exploitation du futur gratte-ciel.

La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de la journée du mardi 1er avril.

Dans le royaume, la tulipe fait tourner les têtes chaque printemps, quand un million de touristes se pressent au parc de Keukenhof. L’amour de la fleur y est né au XVIIe siècle et a été à l’origine de l’un des premiers épisodes de bulle spéculative de l’histoire.

En épluchant des données publiques, l’ONG Générations Futures a découvert qu’une petite minorité de sites industriels français sont responsables de la quasi-totalité des rejets de ces substances chimiques.

Pam Bondi, la ministre américaine de la Justice, a demandé au procureur général la peine capitale à l’encontre de Luigi Mangione. Une première sous la nouvelle administration Trump.

Le camion a été retrouvé incendié dans la nuit du dimanche 30 au lundi 31 mars. Il avait été volé sur le parking d’une société spécialisée dans le transport d’objets d’art, selon «La Dépêche».

Les députés ont voté ce mardi 1er avril, à une large majorité, en faveur de la proposition de loi pour «sortir la France du piège du narcotrafic».

Plusieurs réactions politiques à la suite de la condamnation de la leader du Rassemblement national pourraient relever d’une infraction pénale. Mais dans les faits, les poursuites sont hautement improbables.

Renoncer aux espaces dans lesquels les véhicules polluants sont interdits de circulation risquerait de coûter plus de 3 milliards d’euros, d’après une note de la Direction générale du Trésor parvenue ce 1er avril. Les députés ont pourtant voté en faveur de la suppression de ces zones le 26 mars, jugées trop contraignantes pour les ménages modestes par certains politiques.