Au procès pour cyberharcèlement contre Brigitte Macron, des prévenus anonymes ou influenceurs de la « complosphère »
Dix personnes sont accusées d’avoir alimenté sur les réseaux sociaux la théorie complotiste prétendant que l’épouse du chef de l’Etat est une femme transgenre. Elles ont notamment convoqué « l’esprit Charlie », défendant un droit de « satire ».